En ce jour d’automne 2023, nous nous apprêtions à recevoir un couple délicieusement bien assorti. Prisca et Barnabé avaient délaissé leur paradis sur terre pour faire escale à Paris… Mais tant qu’à faire, autant joindre l’utile à l’agréable, et pour cela je disposais d’absolument tout. En effet le cadre idyllique réservé, ainsi que les cinq hommes du groupe. Néanmoins il ne fallait pas oublier qu’l nous fallait composer avec un événement de taille qui avait lieu en France : la coupe du monde de rugby. Enfin la date validée, Barnabé me fit parvenir via WhatsApp, quelques clichés évocateurs de la belle. Mais en les recevant, je ne pus m’empêcher de me projeter à l’instant t. Au moment où après avoir bu quelques gorgées de cet excellent champagne, la très sexy et sexuelle Prisca, allait nous donner son feu vert pour se convertir en la porte parole du gang-bang.
La timidité apparente se transformera en impertinence
Barnabé m’avait prévenu, sa douce moitié avait besoin de prendre son temps, se sentir à l’aise…Mais aussi se sentir désirée, ce qui permettrait d’effacer la timidité au profit de l’audace. Nous n’allions pas tarder à le découvrir…Mais pour l’instant le volcan était au repos, comme silencieux, Prisca nous jaugeait. Bien évidemment, notre intention était de lui donner autant de temps, donc d’espace qu’elle le souhaitait. Car comme le dit l’adage: « tout vient à point à qui sait attendre ». Mais dieu que cette femme était sexy, et savait à merveille se faire désirer.
Prisca la porte parole du gang-bang
Désinhibée, Prisca allait petit à petit lâcher les chevaux, nous avions droit à un récital, une symphonie sexuelle. Et nous ne tardions pas à découvrir le péché mignon de la belle qui était devenue sauvage… « Sortez vos queues! » cria-t-elle, « je veux vous vider ! ». Jamais, dans mon vécu libertin, je n’avais souvenir d’une fellation exécutée avec une telle maestria…Assise sur le canapé, les jambes écartées, Prisca venait de me faire jouir en quelques minutes, mon sperme abondant inondait sa bouche et son visage… Voilà une redoutable spermophile me disais-je dans un coin de ma tête. Mais les festivités ne faisaient que commencer, et Nicolas guida Prisca jusqu’à la chambre…
Le sexe dans tous ses ébats
Nous n’étions pas trop de cinq messieurs ce soir-là, je le constatais en me rendant à mon tour dans la chambre…Prisca se faisait copieusement pénétrer par Nicolas, en levrette, tout en suçant en même temps Bruno et Jean Michel…Quant à moi je contemplais ce spectacle offert, non sans un certain plaisir…Après de longues minutes de sexe intense, Prisca réclama la semence en abondance dans sa bouche, pour le bukkake final…
La bonne nouvelle est que ces deux-là reviennent nous voir en septembre 2024, « ne pas reconnaître son talent, c’est faciliter la réussite des médiocres »
Awa porte une longue jupe plissée dont la transparence dévoile haut les jambes, jusqu’à une mini sous-jupe. Elle a chaussé des bottines à talons hauts. Ses jambes gainées de bas tiennent seuls. Sous son chemisier, le soutien gorge porte-seins, laisse les tétons apparents. Elle a passé un verrnis noir sur ses ongles. Ses longs cheveux noirs détachés sur les épaules. Tout à l’heure ils se déploieront comme une auréole souple sur le drap blanc où, allongée, et qu’ autour d’elle se déploieront des sexes d’hommes. Awa souhaite des hommes.En somme, elle a soif de pluralité masculine.
La mise en bouche
Une veste en fourrure, l’automne arrive ce soir là. Puis le taxi nous dépose face à la porte cochère du bel immeuble dans le quartier chic où nous attend le premier gang bang d’Awa. Bertrand ouvre à notre coup de sonnette. Nous entrons dans un bel appartement, où un coin s’offre à nous, avec quelques fauteuils, un canapé, une table basse, des verres à champagne. Deux autres hommes se lèvent et nous saluent. Les promesses sont tenues: les lieux sont avenants, les hommes respectueux, et une première bouteille de bon champagne ouverte.
La soirée s’engage par une conversation légère et cordiale, Awa se trouvant au centre de quatre hommes qui la regardent furtivement, et apprécient en connaisseurs ses gestes, sa façon de porter le verre de champagne à sa bouche. Le propriétaire des lieux vient saluer. Il ne participera pas ce soir, il reviendra un peu plus tard observer les corps mâles s’affairant autour du corps offert de la femme.
Awa joue avec les hommes, les débuts de sa pluralité masculine
Au bout de quelques verres, elle se lève, prend un petit sac, va dans la salle de bain attenante à la chambre où se tiendront les ébats. Elle revient, toujours perchée sur ses bottines hautes, seulement vêtue d’une jupette noire ultra courte, mettant en valeur ses immenses jambes, d’un string et du soutien gorge ouvert où les tétons sont maintenant longs, gorgés de désir.
Cette tenue directement suggestive fait qu’elle a à peine le temps de se resservir en champagne qu’un participant s’agenouille entre ses cuisses et commence à la lécher. Elle se cabre pour que la langue puisse bien la travailler, tandis qu’un autre participant fourre sa queue dans sa bouche. Awa, lécheuse et léchée, pompe le membre qui lui est offert.
Vive la pluralité masculine !.
Le gang bang de la sulfureuse Awa
Le décor change pour les quelques deux heures qui suivent, puisque tout le monde se déplace dans la chambre. Principalement meublée d’un très grand lit, où Awa s’offre volontiers aux trois bites qui s’activent. Auxquelles se joint régulièrement la mienne, dans sa bouche ou son sexe.
Elle chevauche, elle est chevauchée, elle se met à quatre pattes pour être prise en levrette. Elle adore être prise en levrette. Une fois le string enlevé, la jupe ultra courte roulée autour de la taille et le soutien gorge comme un trait noir sous ses petits seins bien dressés. Il n’y a plus d’obstacle pour que les langues, les queues et les mains la parcourent dans tous les sens.
J’incite un des participants à lui sucer un sein pendant que je m’occupe de l’autre. Alors qu’une queue la fourrage activement.En outre, une double vaginale s’organise pendant qu’elle me suce.
Awa joue avec les hommes
Bertrand regarde, touche, s’assure que tout va bien. Et Awa gémit de plaisir, frôle à plusieurs reprises l’orgasme, surtout prise en levrette debout. Ainsi, penchée et appuyée sur un amoncellement de coussins, offrant ainsi sa croupe aux hommes qui se succèdent derrière elle. Quelques claques bien senties sur les fesses augmentent les gémissements. Les oiseaux tatoués sur son corps frémissent leurs ailes.
Son grand corps blanc va et vient selon les rythmes proposés. D’ailleurs, un des invités me dira, qu’il avait particulièrement apprécié son engagement, son ardeur à onduler, à s’offrir. Finalement, la séance s’est terminée par les lourdes éjaculations des bites sur son corps. Comme l’illustre Awa se massant le ventre et les seins avec le sperme généreusement répandu.
La conclusion de cette première pluralité masculine
Tout le monde s’est retrouvé pour une dernière coupe de champagne. De cette façon, chacun reprendra ses distances, presque comme si rien ne s’était passé. Une soirée extrêmement fluide et respectueuse, protégée, puisque toute pénétration ou fellation protégée. Tout autant attentive, puisque Awa ne souhaitant pas ce soir là d’anal, cette question fut vite évacuée.
Sur le chemin du retour, elle me susurra dans l’oreille qu’elle aimait vraiment la queue. Après cela, je me demande maintenant s’il ne serait pas intéressant de passer à cinq hommes. Pour le moment Awa ne dit pas non. Elle apprécie d’être la reine de bites s’activant au service de sa jouissance. Nous pouvons donc l’écrire ici : « elle sera bientôt la reine de la pluralitémasculine. »
Mardi 11 mai 2021, Nissa, ma soumise, avait de nouveau rendez-vous pour la réalisation d’un de ses nombreux fantasmes. En effet, elle souhaitait revêtir la tenue d’une secrétaire de direction… Aussi, elle me fit parvenir une photo de sa tenue, et de la paire de lunettes que je devais valider. J’avais hâte de la retrouver, et elle, hâte de renouer avec ma perversité. Mais, organiser un gang bang en journée revêtait un caractère particulier. En effet, l’ambiance n’est pas la même qu’en soirée, ajoutée aux contraintes des complices du groupe ne pouvant se libérer. Mais le fidèle hervé m’assurait de sa présence. Et il tiendrait un rôle particulier, celui de DAF, quant à votre serviteur, il tiendrait le rôle de DG.Tout était en place pour la réalisation de son fantasme, le fantasme de la secrétaire de direction.
La venue de la soumise
Mon objectif pour Nissa, était de toujours la surprendre, pour qu’elle ne se lassa pas. Aussitôt arrivée, une fois son collier en place, à genoux sur son coussin, je lui demandais de fermer les yeux. Puis sortis mon sexe et le lui fis sucer, elle devait sentir celui-ci grossir dans sa bouche, mais devait garder les yeux fermés… Après un bref signal de la main, ce fut au tour du fringuant complice de forcer sa bouche… La jeune femme ne s’ y attendait pas, mais elle me confia, via l’écriture de son compte rendu que cela l’excitait au plus haut point… Nous baisions copieusement sa bouche à tour de rôle.. Cette séance démarrait sur les chapeaux de roue. Enfin notre ravissante créature se changea à l’étage, se préparait sans stresser, j’y tenais par dessus tout.
Le fantasme de la secrétaire de direction
Elle descendit les marches d’un pas décidé, avec ce formidable sentiment de honte mêlé à une forme de fierté. Nissa souhaitait connaître le masochisme, l’humiliation, perdre toute dignité. Au bar, elle découvrit deux hommes élégants, l’un portant une chemise, boléro et costume. L’autre, chemise et veste. Mais, très tôt se rappela à sa docilité, et à son entière soumission… Elle devait déboucher la bouteille de champagne Mumm, mais n’y parvint pas du fait de son vernis qui n’avait pas eu le temps de sécher… Alors, comme pour lui faire sentir cet échec, elle n’eut à peine le temps de porter la coupe à ses lèvres, que je lui demandais de s’exhiber. Ma soumise s’exécuta, puis nous montra sexe et poitrine, non sans une certaine gêne. Hervé lécha ses tétons, qui n’en demandaient pas tant, sa chatte quant à elle était trempée… Allions-nous valider cette candidature ?
L’entretien d’embauche de la jeune soumise
Assise à son bureau, Nissa devait retranscrire un texte, pendant que le daf, ô combien pervers lui faisait une gorge profonde. Et bien évidemment, tout en ne devant pas faire plus de cinq fautes. Si tel était le cas, elle devait s’empaler sur son sexe… Puis vint la question existentielle de savoir si nous étions prêts à rémunérer à ce poste, une insatiable créature qui passait son temps à visionner des films pornographiques à son poste de travail… Son ipad à portée de la main, elle en visionna deux, devant les protagonistes éberlués… Une main tenant l’accessoire, l’autre caressant son clitoris, nous étions sûrs de ce profil, qui serait sans nul doute retenu par les pervers que nous étions.
Mais comme je connaissais la pudeur de Nissa, j’en profitais pour lui demander de placer le rosebud au fond de son séant. Et bien évidemement, au vu et au su de nous tous… Enfin, pour parachever cette parenthèse sexuelle, nous baisâmes en levrette la chatte de ma soumise, pendant qu’elle essayait tant bien que mal d’enregistrer des rendez-vous professionnels sur mon agenda…
A votre avis, la candidature de la demoiselle a-t-elle était retenue ? 🙂
On n’a qu’une vie… La mienne, ponctuée de formidables rencontres, toutes plus extraordinaires les unes que les autres. Mais c’est ma vie libertine qui, par sa singularité de réalisateur de fantames a pris un second souffle. De surcroît, accompagnée d’un formidable élan de fraîcheur… En ce premier mai 2021, une jeune femme âgée de 24 ans me contactait via mon compte instagram, afin d’assouvir ses fantasmes de gang bang. Mais comme souvent dans ces cas-là, j’optais pour une légitime prudence… Quid de la fiabilité de cette demoiselle ?, quid de son sérieux, de ses envies ?. Je ne tardais pas à être rapidement fixé sur ses louables intentions, grâce à un rapide échange vocal, où je pus entendre le son de sa délicate voix… Elle voulait nous confier la réalisation de son fantasme : le Gang Bang de la petite écolière.
Nissa, puisqu’elle était son pseudo souhaitait que je lui organise une après-midi délurée, un moment hors du temps. Où malmenée, bousculée, plusieurs hommes la baiseraient copieusement, puisque telle était sa demande… J’organisais donc pour Nissa, soumise de son état, cette pluralité masculine.
Le Gang Bang de la petite écolière
Pour qu’elle se sentit parfaitement dans son rôle, il lui fallait un habit sur mesure. Celui-ci, composé d’une courte jupette et d’un haut transparent. Et bien entendu, je lui ordonnais de ne pas porter le string qui complétait l’ensemble. La première chose que je remarquais très vite était sa ponctualité. En effet, le mardi 4 mai, à 13 heures précises, celle qui allait devenir ma soumise, se présentait à l’adresse donnée. Après le cérémonial d’usage qui consistait à s’agenouiller devant son maître, elle reçut le collier autour de son cou. Puis m’embrassa les pieds. Mais je sentais la jeune femme un tantinet stressée, et dans sa soif de bien faire, elle demanda à se doucher… Quand elle ressortit, elle plaça dans les toilettes le rosebud dans son cul, mais ne souhaitait pas le faire devant le premier complice qui arrivait.
Soumise Nissa repoussait ses limites
Je sentais la jeune femme partagée entre deux sentiments : l’excitation et la honte. Mais cette ambivalence ne tarda pas à s’estomper pour faire place à sa formidable envie de sexe. Or je puis vous l’écrire chère lectrice, cher lecteur : rarement je n’ai rencontré de femme aussi attachante et vorace… J’ordonnai à Nissa d’exhiber son sexe et sa poitrine. Puis elle dut, en guise de parfaite soumise qu’elle était, offrir une coupe de champagne de bienvenue à ces messieurs… Pendant qu’elle s’appliqua à bien nous servir, Nico, hervé et votre serviteur en profitions pour lui caresser la vulve. Et sentir sa mouille abondante, couler sur nos doigts.
Je tenais là une perle, un joyau, cette demoiselle n’allait pas finir de nous surprendre… Telle une chienne lubrique, elle était en train de nous faire bander. Surtout, quand vint le moment tant attendu des quelques mots qu’elle devait prononcer, agenouillée sur son coussin…
L’humiliation de la petite écolière
Voici les mots qu’elle devait dire : «Je suis Nissa la soumise de Maitre Bertrand qui me met à votre service, ma bouche, ma chatte. Je suis un objet sexuel à votre disposition». Mais malgré la formidable gêne qui s’emparait de ma soumise, je sentis une réelle soif de bien faire. Accompagnée d’une volonté indéniable de soumission à son maître, et cela me rendait particulièrement fier… Nous notions la soumise sur son discours, via un jeu de notes sur 5, qui devait me parvenir sur mon téléphone. Après cet épisode humiliant à souhait, vint le moment tant redouté par Nissa, montrer sa chatte ruisselante, et ses seins à ces messieurs qui avaient l’autorisation de contempler, de lécher et de toucher… De nouveau, les hommes du groupe devaient la noter…
Mais comble de ma perversité, Nissa regagna sa place au milieu du salon, alors que je m’emparais d’une lampe torche. Et inspectais chacun de ses orifices comme si elle était une vulgaire bête de foire… Nico et hervé en firent de même, tout en observant la cyprine couler… Bien entendu, et comme je m’y attendais, cela l’excita beaucoup.
Les jeux sexuels du Gang Bang de la petite écolière
Nissa sentait les queues se dresser, pas de doute elle faisait de l’effet aux hommes, dont les yeux transpiraient la lubricité. Nous pouvions donc commencer l’atelier Gorge Profonde… Où ma soumise se devait de prendre en bouche les sexes tout au fond de sa bouche… Nico bandait déjà quand il baissa son pantalon, et Nissa eut du mal à le sucer… Mais puisque je sais que tu me lis ma soumise, sache que je t’ai prévu des ateliers Fellations pour nos prochaines séances et des exercices du soir… Une sorte de formation accélérée.
Puis je me dirigeais à l’étage, Nissa tenue en laisse… Et elle put observer sa gamelle remplie d’eau du robinet, où elle pouvait se désaltérer à condition d’en formuler la demande. Nissa, présentée en levrette, offrit sa croupe aux trois hommes qui nous rejoignèrent dans la chambre… Positionnée ainsi, elle accueillait au fond de son intimité, deux sexes, pendant qu’elle croisait mon regard. Elle était fière Nissa !, pensez donc !, c’était sa première double pénétration… La jeune femme prenait du plaisIr… Beaucoup… Elle qui voulaIt se faire baiser était servie, elle qui voulait se soumettre, était ravie. Enfin elle qui voulait vivre l’humiliation était comblée…
La conclusion de ce gang bang qui en appellera d’autres
Nissa est une rencontre qu’on n’oublie pas, et cela tombe bien je ne souhaite pas la chasser de ma mémoire. Cette femme a eu le don de toucher mon cerveau, mon sexe et mon coeur… Je me définis comme un réalisateur de fantasmes, mais aussi comme un représentant en souvenirs… Alors Nissa, ma chère soumise, je formule un voeu : que tu ne fasses pas partie de mon passé, mais de mon avenir…
Mardi 20 Octobre, nous organisions un après-midi gang bang, avant Le couvre-feu du moment en vigueur. Mais comme toujours, cette escapade fut une réussite, car improvisée à la hâte, et surtout spontanée. En effet ce beau et sympahique couple du nord de la France, n’était pas passé par notre formulaire de contact, mais par notre compte instagram. Leur demande était concise : un moment de sexe hard et intense avec trois à quatre messieurs du groupe. De surcroît bon baiseurs et pervers à souhait. Cela tombait bien, j’avais justement, sous la main, quatre messieurs qui correspondaient à leurs critères. Mais jusqu’au dernier moment, un doute planait sur la venue Parisienne du couple. Mais quelques heures avant le début des hostilités, je recevais le texto de confirmation… La fulgurance du gang bang pour la belle bourgeoise délurée pourrait donc avoir lieu…
La fulgurance du gang bang
Nous devions nous hâter, du fait du timing serré lié au contexte sanitaire. En effet, tous les protagonistes devaient regagner leurs foyers respectifs à 21 heures précises… Mais aussi parce que la belle Sandra, telle une mante religieuse, n’avait qu’une envie : nous sentir profondément en elle.Votre serviteur, respectueux des règles gouvernementales, se tenait à la règle des six : Stan, Olivier, Marco et Elyas. Quant au couple, il vint compléter l’addition. Après la coupe de bienvenue, nous pouvions sentir le magnifique regard lubrique de la belle plante. De même qu’elle put contempler les bosses dans nos pantalons. Sandra sans se faire prier prit place dans le canapé, à sa droite Stan, à sa gauche Marco… Quant à Olivier et Elyas, ils contemplaient le spectacle…
Les envies lubriques de la bourgeoise délurée
Ni une ni deux, je pris par la main notre divine quadragénaire, qui passa sa langue sur ses lèvres. Oui Sandra affamée cherchait les queues, qui ne tardèrent pas à grossir dans sa délicate bouche experte. Accroupie, la queue de Stan en bouche, elle branlait énergiquement Marco et Olivier… Quant à Elyas, il se branlait à petite distance, flattant son voyeurisme. Quant à moi j’étais maître de cérémonie, et spectateur, fidèle à ma soumise du moment Papillon… N’en pouvant plus, Sandra se positionna en levrette, exhibant fièrement sa magnifique cambrure. Et nous ne pouvions que tomber en pamoison devant sa croupe formidablement rebondie. Aussi en écrivant ces quelques lignes, je ne puis m’empêcher de repenser à feu Jean-Pierre Marielle, qui se serait fendu d’ un : « mais quel cul !, bordel de merde, je bande ! ».
L’escapade Parisienne sans tabou de la belle salope
En plus de ressentir la faim, Sandra nous faisait comprendre, de façon très élégante, qu’ elle avait soif de pratiques propres au gang bang. Donc, elle attendait sa double pénétration. Mais dans tous les groupes de libertins adeptes de pluralité, vous avez des spécialistes, et Gang Bang à Paris n’est pas en reste. Alors Stan et Marco s’y collèrent sans, au demeurant sans se faire prier. Ces deux-là excellaient en DP. Notre invitée ne tarda pas à le constater, et à gémir de plaisir… Mais comme elle revendiquait un côté salope assumée, elle ne tarda pas à dévorer la queue du bel Elyas… La fulgurance du gang bang, finalement le titre était bien choisi…
La fulgurance du gang bang et l’épilogue de cet après-midi libertine débridée
Comme le disait si bien Louis de Funès dans le film Le corniaud : « les caravelles ont tous les vertus, mais pas celle d’attendre… » Et force était de constater que le déliceux gang bang touchait à sa fin, et qu’il nous fallait nous hâter… Mais comme cadeau de retrouvailles à l’ami Olivier, je lui proposais d’héberger ce couple, ravi de ma rigoureuse organisation… Et mon petit doigt me dit, que dans les beaux quartiers Parisiens, une magnifique femme confia sa sexualité à un membre éminent du groupe jusqu’à des heures avancées de la nuit..
Mais ne me demandez pas de vous le raconter, je vous laisse le soin d’imaginer….
Après avoir alimenté la cérébralité de ma soumise Papillon, vint le jour tant attendu. En effet après une prise en main laborieuse, j’organisai enfin la deuxième séance bdsm de la jeune femme. Cette fois-ci je me rendis à la boutique Demonia, afn d’acheter la plus belle des tenues, celle de la soubrette. Aussi, je la contemplai, elle était tout en vinyle. Et je ne pus contenir une légitime érection, au moment du passage en caisse, en imaginant le sexe trempé de Papillon, dans son habit… Mais cette soirée devait être pleine de surprises, car je prenai un malin plaisir à brouiller les pistes. Et ce, malgré les questions journalières de Papillon qui cherchait à connaître le programme de sa séance.
La soubrette notée sur la préparation du repas
Papillon arriva à l’heure mais sans maquillage, raison pour laquelle son maître décida de lui administrer une première punition !. Malgré cela, même sans maquillage, je la trouvai particulièrement en beauté. Pour autant, ma soumise n’avait pas oublié d’être joueuse, puisqu’elle me provoquait sans cesse, en faisant exprès de se pencher en avant. Mais elle savait que sa deuxième séance serait copieuse, car elle devait dans un premier temps me confectionner un repas avec les ingrédients imposés. Néanmoins, je sentis Papillon concentrée, et disciplinée, tant sa volonté de bien faire était évidente. Et, en un rien de temps, elle me confectionna un délicieux repas…
Atelier numéro 2 : le dressage de table
Je pris place à un bout de la grande table en verre, Papillon, quant à elle se plaça en face de moi, les cuisses bien écartées. Donc, je me délectai de la vue de ses lèvres qui ne demandaient qu’à s’écarter sous mes puissantes pénétrations. Mais avant cela, j’observais le comportement de la soubrette d’un soir, sa posture à table. Mais aussi, sa façon de manger, de porter ses aliments à la bouche. Et, comme à mon habitude, rien ne m’échappait. D’après ce constat, la note de Papillon baisserait sans doute, car ma soumise était distraite, donc moins concentrée. Autrement dit, elle laissa tomber quelques bouchées… Allais-je pour autant la punir ?
Atelier numéro 3 : le cours d’éducation sexuelle
A ce stade de la soirée, point de punition pour soumise Papillon. Mais pris d’une légitime envie, je baisai copieusement cette dernière sur le canapé, tout en délicatesse tout de même…Afin de ne pas mettre à mal l’endurance de la jeune femme. Mais elle n’était pas au bout de ses surprises, puisqu’elle croyait grâce aux nombreux indices envoyés par mails que son professeur d’éducation sexuelle était un homme… Pourtant il n’en fut rien, et soumise Papillon se plaça comme prévu, sur son coussin, derrière la porte d’entrée. Ses yeux parés de son loup rouge. Enfin à 21 heures trente précises, Esmeralda sonnait à la porte, sans un mot, comme nous l’avions convenu, elle fouillait la bouche de Papillon, puis ne tarda pas à trouver ses marques.
Puis, je laissai jouer ces deux femmes entre elles, de longues minutes, le temps comme arrêté, je devenais voyeur et branleur… Combien d’hommes auraient aimé être à ma place…
La conclusion de la soubrette :
Comment décrire en quelques mots la volupté et la sensualité qui se sont dégagées de ce dernier cours particulier ?. La première partie de la soirée m’a permis de prouver que je pouvais être une parfaite soubrette, capable de cuisiner et de dresser la table (aussi bien que les sexes). Malgré tout, j’ai encore beaucoup à apprendre et c’est pour cette raison que mon Maître avait organisé cette soirée, accompagné de mon professeur particulier.
Pensant que mon professeur était un homme, qu’elle ne fut pas ma surprise quand mon Maître m’annonca que c’était une femme, ce qui ne m’a pas découragé, loin de là… D’autant que mon professeur n’était autre qu’Esmeralda, une femme avec qui j’avais déjà joué. Trempée et excitée à souhait, j’attendis patiemment l’arrivée de mon professeur, agenouillée et les yeux couverts d’un loup. Une fois les yeux libérés je la (re)découvris, vêtue d’une robe en cuir noire.
Et très rapidement, j’eu une envie bestiale de la baiser. Elle me prit en main, avant que je ne la prenne en main moi-même. Nous commencions nos jeux.. Nous embrassions, mordions, c’était à celle qui allait baiser l’autre. Esmeralda me fit un apprentissage pratique avec des ateliers, mais nos jeux allaient bien au-delà.
Et nous étions toujours sous bonne surveillance… Mon Maître nous regardait prendre notre plaisir, nous entendait gémir, il sentait notre envie l’une pour l’autre… Et bien évidemment, nous ne restions pas longtemps seules. Maître Bertrand nous rejoignit pour un trio exaltant et rempli de volupté.
Le saphisme est un mot que je qualifierai de plaisant à écouter et à regarder. Encore plus quand une femme s’en empare et le prononce. Mais, en ce frileux soir de décembre 2009, je pus le lire sur les bouches de trois femmes… Lesquelles avaient tout simplement envie de profiter d’elles, de se déguster, de se savourer, avant de goûter à ces messieurs. Alors discrétement, patiemment, nous profitions de chaque moment avec délectation. Donc, à distance, nous attendions le feu vert, le top départ qui pouvait venir ou pas… Ces femmes avaient tout simplement envie de se faire l’amour, de baiser entre elles, au coin du feu. Cette soirée eut lieu le 13 décembre 2009, et en parcourant les formidables clcihés en noir et blanc, je ne pouvais que sentir la sensualité et la beauté de ceux-ci me frapper en pleine tête, me sonner… Le temps était suspendu…A leurs lèvres…
Profitez chères lectrices de ce récit, organisé par un homme, pour des femmes… Vous reprendrez bien un peu de Saphisme au coin du feu ?…
Le Saphisme au coin du feu
Nous retrouvions Serena, qui en plus d’aimer les femmes mais aussi la pluralité masculine, nous rappelait qu’elle souhaitait toujours sa boisson préférée : le mojito. Ce serait donc une soirée sous le signe du saphisme, mais aussi et surtout sous le signe de l’hédonisme. Où le plaisir comme leitmotiv… Ce plaisir que j’ai quand j’organise, quand je suis acteur ou voyeur. Mais aussi quand j’écris des articles que je vous offre. Mais cette soirée était aussi sous le signe des contrastes. En effet Nelly, la blonde Polonaise était aux antipodes de Serena, la brune méditerranéenne, d’origine Italienne, au tempérament volcanique. Nul doute que leurs baisers allaient faire des étincelles, le chaud et froid se mariait à merveille, nous pouvions le constater…
L’appétit dévorant des déesses de l’amour
Sur le canapé, un bandeau sur les yeux, Nelly masquait sa timidité du mieux qu’elle le pouvait. Mais ne se fit pas prier pour acceuilir entre ses bras, la sulfureuse latine. Donc, elle prendrait les choses en main. Presque Domina, sous l’effet de sa libido ou des mojitos. Or cette passion débordante transpirait en direct, mais aussi au travers des photos que nous vous offrons… Serena occupait l’espace et menait la danse. Cela se voyait et sentait. Sa bouche mordillait la délicate poitrine de Nelly, ses doigts caressait sa vulve ruisselante de cyprine… Sa voix guidait la belle Polonaise et la poussait dans ses retranchements. Nelly ne tardait pas à jouir…
Une femme avec une femme… Le saphisme dans tous ses états
L’air de Mecano aurait put passer en boucle ce soir là, tant la voix de la belle Ana Torroja se serait mariée à merveille. Mais une femme avec une femme, ne vaut pas le titre originel, qui donne la chair de poule… Ce soir-là c’était bien : « Mujer contra mujer », redondant dans ma tête… Nous étions fiers de pouvoir voir ce magnifique spectacle, de jouir avec elles. Mais surtout fiers de respecter à la lettre leurs moindres désirs… Alors j’écris ces lignes, et je ne peux contenir mon émotion. DIeu que c’est beau une femme !, Diantre que c’est bandant une femme !… Que je suis fier d’être organIsateur amateur de soirées libertines… Pour elles…
Nous étions submergés par tant de beauté, de sensualité, mais la soirée montait crescendo…
Le gang bang des drôles de dames
Mais patiemment Naomi qui jouait sur ses terres n’allait pas tarder à entrer dans la danse. Et autant en solfège, on a coutume de dire qu’une blanche vaut deux noires, autant ce dimanche ce fut l’inverse. Naomi, telle une star de cinéma éclaboussait de son talent l’écran. Magnifique femme Sénégalaise, à la posture impeccable, soumise avec les hommes, mais dominatrice avec les femmes, elle décida d’enmener Nelly à l’étage pour la placer sur le sling. Notre belle Polonaise ne tarda pas à sentir le doigts de Naomi au fond de sa bouche et le bruit de sa bouche suçant les mâles les uns après les autres. Elle n’avait pas son pareil pour nous faire bander. Donc nos sexes prêts à pénétrer Nelly avec envie, nous faisions preuve d’une extrême délicatesse, afin que le changement ne soit pas, pour elle, trop brutal.
La femme objet au service des femmes et des hommes
Nelly subissait, mais avec plaisir les assauts de ces deux femmes et des 5 hommes présents. Nul doute que pour sa première fois, notre superbe blonde allait garder un formidable souvenir de ce moment hors du temps. Et comment ne pas en être fiers puisque nous y avons grandement contribué… Réaliser des fantasmes, nous le faisons depuis presque vingt ans, et quelque chose me dit que nous continuerons à être les dignes représentants de ces formidables souvenirs…
Le libertinage permet de faire de belles rencontres, et ce mercredi 28 juillet 2010, nous rencontrIons un autre couple adepte de fétichisme. Tout comme Tatiana, la belle Sultana avait envie, elle aussi, d’une soirée à tendance bdsm. Aussi Jean nous invita dans son magnifique appartement équipé de la rue Mouffetard. Mais ce que ne savait pas notre belle quadragénaire, c’est qu’elle allait être accompagnée par Miss S. Sacrée surprise pour Sultana !, qui avait décidé de garder son loup en cuir, tout au long de cette séance soft. Elle avait la fièvre du bdsm, et nous le démontra durant cet après-midi estivale… Pas besoin de vous préciser qu’à cause de l’épidémie de Coronavirus, cet article traite d’une soirée passée…
La mise en bouche avant le débuts des jeux libertins
Sultana était une femme très timide, mais qui a gardé un souvenir ému de ce moment en notre compagnie. Pour vaincre sa timidité, elle pénétra dans l’appartement de Jean, les yeux masqués. Et ne parla que très peu durant ces longues heures de cette lourde escapade estivale… Il faut dire qu’elle avait de quoi être impressionnée, puisque cinq hommes composaient ce gang bang. Jean, Stan, Jeremy, Raphaël et votre serviteur en étaient. Mais ce que ne savait pas non plus la belle soumise, c’est qu’une autre femme tout aussi timide, attendait en spectatrice discrète… Sultana avait soif de détente, soif de voix rassurantes, soif de jouissances. Enfin avoir la fièvre du bdsm. Et quoi de mieux pour se détendre que la présence d’hommes délicats, assise dans un confortable canapé, une coupe de bon champagne à la main…
La fièvre du Bdsm comme le diable au corps de la soumise
A force de pratiquer nos soirées, depuis tant d’années, nous savions tous ce que nous avions à faire pour que son excitation monta… Depuis huit ans qu’existait le groupe, nous savions quel était notre rôle. Par exemple, Jeremy était le roi du cunni et du squirt, Stan le roi des fougueux baisers et des fessées. Quant à Raphaël et Jean, ils étaient les spécialistes de l’anal et de la double pénétration… Quant à votre serviteur, tel le chef d’orchestre de ce quintet, je donnais de la voix, et me contentais d’être voyeur et acteur. Mais ce que nous savions surtout concernant une première fois, c’est de ne surtout pas oublier de flatter celle qui était la reine des attentions… A l’écoute de mes mots doux et crus à la fois, et des mains qui parcouraient son corps, Sultana soupira… Puis posa sa coupe et écarta ses cuisses…
Le quintet en action au service du plaisir
Les cuisses bien ouvertes, le sexe bien dégagé, Jeremy ne se fit pas prier pour se délecter de sa cyprine qui coulait abondemment… Puis grâce à l’agilité de ses doigts, il fit fontaine la belle, presque gênée par les formidables jets lâchés… Puis Sultana branla d’une main Raphaël, et de l’autre Jean, pendant que sa bouche suçait goulûment Stan. Quant à moi je dissertais avec Miss S au sujet de sa poitrine, qu’elle avait envie de caresser. La question que nous nous posions tous à ce moment précis, était de savoir quand elle allait se précipiter sur Sultana pour la bouffer… La soumise ne pouvait voir tous les sexes de ces messieurs, fièrement dressés vers le ciel. Et, tels des orgues de Staline, ils ne tardèrent pas à entrer en action.
La fièvre du Bdsm montait toujours un peu plus
Sultana, ébouriffée, suait sous son loup, mais prenait du plaisir, à en juger par les sons qui sortaient de sa bouche… Puis Jean la plaça sur le sling, où elle fut prise à la chaîne par nous tous. Pendant ce temps, agenouillée, Miss S préparaient les queues qui pénétreraient Sultana. Mais sans nous y attendre, elle poussa énergiquement le sexe de Raphaël qui enculait la soumise, pour se laisser aller à un formidable cunnilingus. Sultana, destabilisée par cette langue qu’elle ne savait pas féminine, comprit qu’elle se faisait lêcher par une femme, quand elle entendit les gloussements de Miss S.
Le final en apothéose de ce gang bang dantesque
Déjà deux heures que nous jouions, et Sultana ne tarda pas à nous montrer ses limites. Donc, elle souhaitait finir sa mémorable aventure par un bukkake tout aussi dantesque que son gang bang. Elle s’allongea, découvrit chacun de nos visages. Puis réclama en abondance, la semence qui allait recouvrir son visage et sa bouche. Et je puis vous assurer que cette pratique est difficile à réussir sans une parfaite synchronisation des éjaculations… Mais, à l’image de l’ensemble de cette parenthése, nous y parvînmes avec une joie non dissimulée. Et comme rien n’était ordinaire dans cet instant, nous décidâmes d’un after dans le bois de Vincennes avec Miss S … Deux soirée en une !.
Le témoignage de Sultana fut à l’image de la soirée
Bertrand et son équipe… Comment dire sans en oublier ?. Charmants, courtois, à l’écoute, adorables et… très sexe !. Merci Bertrand d’avoir écouté avec tant d’attention notre demande, de l’avoir réalisé avec tant de qualité. Merci aussi d’avoir permis à Sultana de découvrir son premier cunnilingus féminin. Mention particulière à la belle S, que Sultana aimerait beaucoup revoir. Car elle est vraiment tombée sous le charme. Faites- nous signe dès que vous organisez une soirée dans un endroit aussi génial que celui-ci. On fera des pieds et des mains pour vous y rejoindre ! …
Tout commença par un mail reçu en fin d’après-midi, un soir de décembre 2019. Rédigé par le mari candauliste, il attira mon attention car il évoquait un projet de soirée pluralité original. En effet, ce qui me frappait, c’était l’extrême concision de celui-ci. Son but avoué était de faire monter le désir de la chère et tendre femme. Afin de marquer son anniversaire à venir. Mais ce qui me plaisait par dessus tout, c’est qu’il me faisait penser à la réalisation du fantasme libertin que nous avions organisé pour Tristan. A savoir que MIchel connaissait Hélène sur le bout des doigts, en appelait à sa cérébralité. De la sorte, elle s’ouvrirait comme une fleur. Car n’oublions pas : « ce qui ouvre le vagin d’une femme c’est son coeur »… Au travers de ce récit, je m’en vais vous raconter l’élaboration du triptyque du gang bang.
Le projet de soirée pluralité en trois actes
Une enveloppe déposée au pied du sapin de Noël marquait le commencement de cette passionnante trame. Dans ce pli, un flyer élaboré par le mari candauliste : un bon pour une soirée surprise pleine de surprises… Donc, sous la forme d’un flyer explicite, la chère et tendre saurait à quoi s’attendre. Mais ce flyer ne fut pas remis à n’importe quelle occasion. Puisque placé au pied du sapin, le soir de Noël. Ensuite, la belle reçut de ma part un sms évoquant les détails de la soirée, la tenue souhaitée, la date choisie. Enfin, dans un troisième temps, l’endroit retenu, je fis part à la douce du rôle que nous souhaitions lui voir jouer. Et qui du reste la faisait fantasmer : celui d’une escort girl d’un soir.
Dans les faits, après un verre pris dans un bar, nous nous dirigerions vers l’appartement, puis les quatre autres hommes nous rejoindraient, et ne repartiraient qu’après l’avoir fait chavirer.
Le triptyque du gang bang : Grisée tu commenceras…
Nous étions le samedi onze janvier 2020, dans le somptueux appartement Haussmannien, j’étais comme à mon habitude pris de fébrilité. Cela sans doute à cause de mon côté perfectionniste. VIngt et une heure précise, je guettais par l’œilleton, la venue de celle qui avait gagné le droit de lâcher prise, de s’abandonner. Pile à l’heure, je la vis changer de chaussures dans le hall de l’immeuble. Puis sonner à la porte, et lorsqu’elle pénétra, je demeurai troublé par un détail frappant, elle ressemblait comme deux goûtes d’eau à la femme rencontrée lors de mon premier triolisme en 2001… La surprise passée, je l’accueillis avec les égards de circonstance. Nous disposions de trente minutes pour faire connaissance. Mais je savais qu’elle se sentait parfaitement à son aise. Force était de constater que tout transpirait l’élégance, elle , sa tenue, ce cadre et ce si bon champagne.
Quelques minutes avant 21 heures 30, je lui fis visiter l’appartement et lui demandais de s’allonger sur le grand lit, les yeux fermés. Et comme j’avais pris soin de laisser la porte entrouverte, mes trois complices libertins en profitèrent pour rentrer accompagné du mari.
Le triptyque du gang bang : Bousculée tu continueras…
Ce que notre pensionnaire d’un soir ne savait pas, c’est que Michel s’était installé dans la salle de bain. Et comme la lumière était éteinte, il pouvait profiter, à loisir, et sans risque, du spectacle offert. Quel mari candauliste n’aurait pas eu envie d’être à sa place ?. Pour voir sa femme ainsi bousculée, ébouriffée… Hélène jouissait, bouleversée par ces si délicates attentions, elle était la reine de la soirée. Puis les mains des solistes se posèrent sur elle, une, puis deux, les sexes aussi se dressèrent. Hélène, insatiable, offrait la moindre parcelle de son corps aux plaisirs qui s’offraient à elle… Enfin une queue dans la bouche , une autre au fond de sa chatte, j’en profitais pour immortaliser ces instants, non sans oublier de « ravitailler » en champagne l’époux aux anges…
Oui nous pouvions le dire et même l’écrire, Hélène était bel et bien bousculée. En effet, elle avait le sexe de Nicolas en bouche, et Sam en levrette au fond de son cul. Lequel Sam lui claquait les fesses, et lui tirait les cheveux, en laissant échapper des mots crus…
Le triptyque du gang bang : Possédée tu finiras…
Michel avait finit par nous rejoindre, il avait réussi son pari, et se montrait autant heureux que ne l’était sa femme. Et comme par magie la soirée gagna en intensité. En effet elle ne jouait plus avec un sexe ou deux, mais quatre en même temps. Elle avait le chibre de Sam en bouche, s’empala sur celui de Stan, pendant que celui de Nicolas fouillait son séant. Quant à Michel, il eut droit à une magnifique branlette… Nous ne comptions plus les heures passées, tout le monde s’en fichait. Puis, nous en profitions pour boire quelques coupes de bon champagne, en faisant un simple constat : les bouteilles finiraient épuisées avant elle…
Comme pour nous remercier un à un, Hélène nous demanda où nous souhaitions jouir. Qui sur son visage, ses seins ou sa bouche ?, encore une délicate attention… Cette soirée se terminait décidément en apothéose.
Le témoignage du couple sur cette soirée plus que réussie
Grisée, Bousculée, Possédée … Quand le rêve devient réalité !. L’envie de surprendre me trottait depuis un moment jusqu’à proposer un scénario surprise à Bertrand. Voilà un gentleman charmant, aux petits soins pour réaliser vos fantasmes dans les moindres détails et avec une grande complicité. La suite, un lieu d’exception, un accueil délicieux, une ambiance détendue, des complices virtuoses qui ont enflammé Hélène jusque tard dans la nuit. Une soirée qui restera longtemps dans nos mémoires…. Parce que 19 ans d’expérience feront toujours la différence : Gang Bang à Paris, what else !
L’histoire que je vais vous raconter n’est pas un récit gang bang. D’abord elle ne concerne que deux protagonistes. Ensuite, elle est pour le moins déroutante… En effet, elle raconte l’histoire d’une formidable métamorphose, celle d’une jeune femme qui devint femme, d’une chenille qui devint papillon… Notons que ce processus prit des années. Donc, cInq ans après, je me devais, fidèles lectrices et lecteurs, de mettre en lumière cette femme qui m’a marqué et qui me marque encore… Avant tout, voici comment m s’est transformée en Julia pour redevenir M. Voici le récit de la métamorphose du papillon…
La première rencontre avec la jeune femme
Pour commencer, une fois n’est pas coutume, je fis la rencontre de la déliciseuse m sur Tinder. m avait soif de soumission, moi de domination. Quant au match, il fut entre nous immédiat. Avant tout, la première rencontre se passa à la sortie de sa faculté. A vrai dire, je me souviens de cet instant, gravé dans ma mémoire. Egalement, de cette jeune femme qui n’avait pas froid aux yeux, de cet après-midi ensoleillé… Puis, nous fîmes connaissance en roulant, elle intimidée mais décidée, moi donnant l’image de l’homme mature confiant. Quant à notre premier séance bdsm, elle eut lieu immdiatement dans un hôtel aux abords de son université.
Notre première séance BDSM avec Julia
m partit se préparer dans la salle de bain. mais à peine en sortait-elle, que d’une voix ferme et autoritaire, je lui ordonnais de me rejoindre à quattre pattes. Je la sentais destabilisée, mais percevais déjà sa soif de bien faire… Même si nous ne le savions pas encore, ni elle, ni moi, nous étions amenés à nous revoir… Aussi, une fois mon costume de dominateur revêtu, mon regard changeait. Et ma perversité se lisait sur mon visage. Or, je souhaitais que celle qui allait devenir ma soumise puisse le constater. Désormais, celle qui avait choisi le pseudonyme de Julia serait mienne… D’une main ferme je plaçais son collier autour de son cou. Puis, au bout de sa laisse, appliquée, Julia s’efforçait de donner satisfaction… Mais cette séance fut relativement brève, le but étant d’y aller progressivement…
La métamorphose du papillon
Entre-temps, m la jeune femme laissa la place à Julia. Plus tard, le 22 mars 2015, elle reçut son contrat de soumise, qu’elle signa et remit en main propre à votre serviteur. Plus d’un an après, Julia me fit parvenir cet email :
« Bonsoir Maître Bertrand, Votre chienne et propriété Julia a très très envie d’un gangbang … Elle souhaite un GB des plus pervers où tous ses trous mis à disposition pour satisfaire ces messieurs mais surtout son Maître … Etre entièrement livrée, attachée, défoncée comme il se doit. Et plus le temps passe plus cette envie augmente. Bien évidemment, livrée aux pieds de son Maître, tenue en laisse par ce dernier. Au-delà de son simple plaisir personnel, elle veut satisfaire son Maître en lui prouvant son obéissance, son dévouement, et qu’elle est un bon vide-couilles. Bien à Vous ».
Soumise Julia
L’ émergence du magnifique papillon
Vous l’aurez sans doute compris, la crysalide s’est transformée en un somptueux papillon. Et même si j’ai vécu des moments intenses avec Julia, même si à priori c’est elle que je devrais le plus mettre en lumière ici, c’est la femme que je revois actuellement qui me trouble le plus. En effet m la jeune femme s’était muée en Julia, mais est redevenue M, une femme de 23 ans. Quant à Julia, elle n’est plus, n’existe plus, laissant m mettre une majuscule à son prénom. Désormais cinq ans ont passé depuis notre première rencontre. Notons que la jeune femme au départ rencontrée, ne m’intéressait pas autant que la créature enfantée : Julia. Grâce à ma reprise de contact au début de cette année, c’est désormais l’inverse,
La métamorphose du papillon : la conclusion
Je découvre M, celle que je ne connaissais pas, une femme sensible, belle, intelligente. Nous faisons l’amour et nous baisons… Elle et moi profitons à fond de l’instant présent. Désormais, elle me fait part de ses goûts, aussi simples soient-ils, j’en fais de même, car moi aussi j’ai tué BERTRAND…
Mais je vais vous faire une confidence, je vais lui organiser un beau gang bang , et l’inviter à une soirée multi-couples, car c’est son souhait.
Puis le joli papillon prendra son envol et déploiera ses gracieuses ailes dans le ciel…
Depuis le temps que nous organisons des soirées libertines, nous avons toujours la même envie. Peut-être parce que l’élaboration est à chaque fois différente. Peut-être aussi parce que des demandes particulières nous excitent encore. Comme celle reçue le cinq novembre 2019 qui était novatrice… Car au travers de son mail, Tristan souhaitait laréalisation d’un fantasme libertin unique. Pour que vous puissiez l’apprécier, je vous joins sa demande :
« Nous désirons réaliser un fantasme ma femme et moi, qu’elle fasse l’amour avec plusieurs hommes. Nous pensons pour une premiere fois à 3 ou 4 hommes. Mais je voudrais lui faire une surprise, c’est pourquoi je vous contacte seul pour l’instant, et lui dirais au dernier moment. La chose qui nous excite est que je sois présent et que je puisse la voir sans être vu moi-même . Il faudrait que je me tienne derrière un miroir sans tain ou autre cachette.
Le principe est qu’elle puisse vraiment se lâcher de son côté, elle saura que je regarde mais n’aura pas ma presence physique à ses côtés. Et moi de mon côté je pourrais la regarder, et me masturber sans avoir l’oeil d’autres hommes sur moi. Je crains que cela ne casse l’exitation. Elle aime les hommes bien montés, la domination, les insultes, se faire claquer les fesses et être prise par les cheveux. Nous serions disponibles le samedi 23 Novembre 2019.
La réalisation du fantasme libertin
Cette soirée restera la plus minitieuse, tant dans sa préparation, que dans sa réalisation. Et tout au long de la mise en place de la trame, je devais rassurer et conforter Tristan dans son choix. En effet, il me faisait confiance, et moi Bertrand, je ne pouvais pas le décevoir. Après les premiers échanges de mails, nous décidions de nous apeller, car le son d’une voix à l’autre bout du fil rassure. N’oubliez pas chères lectrices et lecteurs que le mari ne revendiquait pas être un libertin. Donc,cela supposait un réel courage de sa part à nous confier laréalisation de ce fantasme libertin unique. Le mari ajouta une précision, il ne se revendiquait pas cocu soumis, car trop jaloux pour cela. Mais bel et bien candauliste.
Les préparatifs de la soirée Gang Bang
Je disposais de l’endroit où la soirée se passerait. Enfin soirée était un bien grand mot, car le mari précisait que cela ne durerait pas plus d’une heure. Encore une fois, j’appréciais sa franchise et sa transparence. Nous étions avertis, mais de vous à moi le timing ne nous importait pas. En effet, seul leur plaisir primait. Enfin le grand jour arriva et il m’avoua son trac, alors que sa chère et tendre ne lui montrait aucun signe d’appréhension… J’avais eu la bonne idée de prendre possession des lieux presque deux heures avant, ce qui me permit de placer la chaise dans la spacieuse salle de bain. Laquelle donnait sur la chambre. Comme lui le voulait, j’avais disposé une table basse dans la chambre pour les coupes et le champagne… Comme il le voulait aussi, il ne vit pas mes complices, ceux-ci se tenaient à l’écart dans la cuisine.
Voir sans être vu, où l’ombre versus la lumière
Nous étions en plein Hitchcock, mais le tire du film n’était pas fenêtre sur cour, et Tristan n’allait pas assister à un meurtre sous ses yeux mais aux multiples plaisirs de sa femme… Le plus dur dans ces cas-là était de briser la glace. Quand ils sonnèrent, je leur ouvris la porte, un vaste sourire sur mon visage. Je leur montrai la scène des ébats, pris le soin de les laisser seuls quelques instants, puis lorsque le sms tomba , allais chercher les trois hommes qui conversaient dans la cuisine. Sabrina était intimidée, quoi de plus normal, quant à lui, je le pensai nerveux. Elégant jusqu’au bout, je pris la peine de lui apporter une coupe de Champagne, puis repris ma place afin de caresser le superbe corps de Sabrina…
Tristan avait vu sans l’être, lui qui se rinçait loeil depuis le filet laissé par la porte entrouverte.
Après ces courts moments d’une grande intensité me remercia : » Merci Bertrand pour le mal que tu t’es donné à organiser cette soirée, Tout a été fait avec respect et attention »…
SI vous aussi souhaitez nous confier la réalisation de votre fantasme libertin, contactez-nous.
Cet article n’a pas pour but de philosopher ad vitam aeternam sur le bonheur… Plutôt mettre en lumière toutes ces libertines et libertins qui véhiculent la félicité. Ben et luna en étaient. Eux qui, contrairement à beaucoup de provinciaux, n’avaient pas besoin de faire des kilomètres pour vivre leur libertinage pleinement, profitèrent de leur voyage à Paris pour nous rencontrer. Avant cela, Luna avait validé les participants pour sa soirée gang bang. Mais elle souhait une ambiance particulière, teintée de Porno chic. Pour cela. quatre messieurs élégants en costume sombre et chemise blanche, un cadre d’une blancheur virginale, des bulles de qualité. Non sans oublier une belle femme exhibitionniste et son sympathique compagnon épicurien.
Les veilleurs du bonheur
Luna transpirait la joie de vivre, peut-être parce que sa tendre moitié lui avait préparé une soirée inoubliable. En effet, ce mardi précédait la Saint-Valentin. Et je sais à quel point l’amour transcende. Mais avouez que croquer cinq hommes est une sacrée prouesse, or je n’étais pas inquiet pour notre jolie provinciale. Comme beaucoup de femmes rencontrées, Luna souhaitait monter en puissance progressivement. Et sentir les inhibitions tomber les unes après les autres. Pour cela elle s’aidait des fines bulles, et cherchait sans cesse le regard complice de son mari. Mais ce qui me bouleversa ce soir là, c’est à quel point Luna prenait la lumière… Elle était notre soleil d’hiver même si son pseudo disait le contraire. Et ce soir-là, les astres étaient tous parfaitement alignés pour notre belle pensionnaire. Laquelle ne déparait pas dans cette ambiance Porno chic.
Vous reprendrez bien un peu de porno chic ?
Cette soirée ressemblait en tous points à la soirée passée en compagnie de Camille. A ceci prêt que Camille avait préparé elle-même son anniversaire. Pour le reste, les festivités démarrèrent plus vite avec Luna. Sans doute à cause des fraîches températures extérieures, et ce besoin de se réchauffer rapidement. Enfin cette symphonie en noir et blanc prenait tout son sens. Et que dire de ce rendu photographique où transpire la beauté, et l’élégance… L’ébène et l’ivoire vive en parfaite harmonie disait la chanson, nous ne pouvions que le vérifier. Aussi je ne vous apprendrai rien en vous répétant que les joyeuses parties sont en couleur, les plus belles en noir et blanc…
Une soirée Gang Bang philharmonique
Les instruments ne tardèrent pas à s’accorder, N’oublions pas que Jérôme, guitariste émérite, connaissait la musique sur le bout des doigts. Lui qui adorait fouiller les bouches des dames, mais s’avérait aussi habile dans l’art du cunnilingus… William, quant à lui, excellait dans l’art de la batterie, mais pas n’importe laquelle, celle du jazz, qui caresse et fouette. En guise d’instrument, il se servait de son sexe pour lui titiller le bouton de Luna. Ce dernier ne tarda pas à grossir sous ces délicates actions répétées. Pour ma part je voyais l’étincelle dans les yeux du couple, et nous ne tardions pas à ouvrir les fenêtres pour chercher un peu d’air frais. Comme souvent, pour réussir une soirée gang bang, il faut un bon métronome, et de bons musiciens . La philharmonie est l’amour de la musique, le corps de Luna était la partition de nos ébats.
Le témoignage de Ben et Luna sur leur soirée Porno Chic
« Je dois t’avouer que nous sommes encore sous l’emprise de cette fabuleuse soirée passée avec vous, et ce, à tous les niveaux : accueil, échanges, gentillesse… Luna s’est encore une fois dépassée, j’ai vraiment été surpris par la dernière séquence avec Cyril en maître S/M soft.
Je compte sur toi pour remercier chaleureusement William, Cyril, Jérôme et aussi le photographe FM Numa pour sa présence si discrète. Nous te souhaitons le meilleur, et ne change rien, vos soirées ont un air de perfection. »