candaulisme

porte parole du gang-bang pour Prisca

En ce jour d’automne 2023, nous nous apprêtions à recevoir un couple délicieusement bien assorti. Prisca et Barnabé avaient délaissé leur paradis sur terre pour faire escale à Paris… Mais tant qu’à faire, autant joindre l’utile à l’agréable, et pour cela je disposais d’absolument tout. En effet le cadre idyllique réservé, ainsi que les cinq hommes du groupe. Néanmoins il ne fallait pas oublier qu’l nous fallait composer avec un événement de taille qui avait lieu en France : la coupe du monde de rugby. Enfin la date validée, Barnabé me fit parvenir via WhatsApp, quelques clichés évocateurs de la belle. Mais en les recevant, je ne pus m’empêcher de me projeter à l’instant t. Au moment où après avoir bu quelques gorgées de cet excellent champagne, la très sexy et sexuelle Prisca, allait nous donner son feu vert pour se convertir en la porte parole du gang-bang.

exhibition de Prisca la porte parole du gang-bang
Le formidable pouvoir sexuel de Prisca

La timidité apparente se transformera en impertinence

Barnabé m’avait prévenu, sa douce moitié avait besoin de prendre son temps, se sentir à l’aise…Mais aussi se sentir désirée, ce qui permettrait d’effacer la timidité au profit de l’audace. Nous n’allions pas tarder à le découvrir…Mais pour l’instant le volcan était au repos, comme silencieux, Prisca nous jaugeait. Bien évidemment, notre intention était de lui donner autant de temps, donc d’espace qu’elle le souhaitait. Car comme le dit l’adage: « tout vient à point à qui sait attendre ». Mais dieu que cette femme était sexy, et savait à merveille se faire désirer.

En attente de sexe
Le désir envahit son corps

Prisca la porte parole du gang-bang

Désinhibée, Prisca allait petit à petit lâcher les chevaux, nous avions droit à un récital, une symphonie sexuelle. Et nous ne tardions pas à découvrir le péché mignon de la belle qui était devenue sauvage… « Sortez vos queues! » cria-t-elle, « je veux vous vider ! ». Jamais, dans mon vécu libertin, je n’avais souvenir d’une fellation exécutée avec une telle maestria…Assise sur le canapé, les jambes écartées, Prisca venait de me faire jouir en quelques minutes, mon sperme abondant inondait sa bouche et son visage… Voilà une redoutable spermophile me disais-je dans un coin de ma tête. Mais les festivités ne faisaient que commencer, et Nicolas guida Prisca jusqu’à la chambre…

la soif d'hommes
J’adore le sperme

Le sexe dans tous ses ébats

Nous n’étions pas trop de cinq messieurs ce soir-là, je le constatais en me rendant à mon tour dans la chambre…Prisca se faisait copieusement pénétrer par Nicolas, en levrette, tout en suçant en même temps Bruno et Jean Michel…Quant à moi je contemplais ce spectacle offert, non sans un certain plaisir…Après de longues minutes de sexe intense, Prisca réclama la semence en abondance dans sa bouche, pour le bukkake final…

La bonne nouvelle est que ces deux-là reviennent nous voir en septembre 2024, « ne pas reconnaître son talent, c’est faciliter la réussite des médiocres »

Crédits Photos : © Gang Bang à Paris

La pluralité masculine d’Awa

Awa porte une longue jupe plissée dont la transparence dévoile haut les jambes, jusqu’à une mini sous-jupe. Elle a chaussé des bottines à talons hauts. Ses jambes gainées de bas tiennent seuls. Sous son chemisier, le soutien gorge porte-seins, laisse les tétons apparents.
Elle a passé un verrnis noir sur ses ongles. Ses longs cheveux noirs détachés sur les épaules. Tout à l’heure ils se déploieront comme une auréole souple sur le drap blanc où, allongée, et qu’ autour d’elle se déploieront des sexes d’hommes. Awa souhaite des hommes.En somme, elle a soif de pluralité masculine.

Awa laisse entrevoir son sein
Awa caresse son délicat bouton

La mise en bouche

Une veste en fourrure, l’automne arrive ce soir là. Puis le taxi nous dépose face à la porte cochère du bel immeuble dans le quartier chic où nous attend le premier gang bang d’Awa.
Bertrand ouvre à notre coup de sonnette. Nous entrons dans un bel appartement, où un coin s’offre à nous, avec quelques fauteuils, un canapé, une table basse, des verres à champagne. Deux autres hommes se lèvent et nous saluent. Les promesses sont tenues: les lieux sont avenants, les hommes respectueux, et une première bouteille de bon champagne ouverte.

La soirée s’engage par une conversation légère et cordiale, Awa se trouvant au centre de quatre hommes qui la regardent furtivement, et apprécient en connaisseurs ses gestes, sa façon de porter le verre de champagne à sa bouche. Le propriétaire des lieux vient saluer. Il ne participera pas ce soir, il reviendra un peu plus tard observer les corps mâles s’affairant autour du corps offert de la femme.

Awa se caresse le clitoris
Elle cherche son plaisir

Awa joue avec les hommes, les débuts de sa pluralité masculine

Au bout de quelques verres, elle se lève, prend un petit sac, va dans la salle de bain attenante à la chambre où se tiendront les ébats.
Elle revient, toujours perchée sur ses bottines hautes, seulement vêtue d’une jupette noire ultra courte, mettant en valeur ses immenses jambes, d’un string et du soutien gorge ouvert où les tétons sont maintenant longs, gorgés de désir.

Cette tenue directement suggestive fait qu’elle a à peine le temps de se resservir en champagne qu’un participant s’agenouille entre ses cuisses et commence à la lécher. Elle se cabre pour que la langue puisse bien la travailler, tandis qu’un autre participant fourre sa queue dans sa bouche. Awa, lécheuse et léchée, pompe le membre qui lui est offert.

Vive la pluralité masculine !.

Awa après sa première pluralité masculine
Le repos après l’effort

Le gang bang de la sulfureuse Awa

Le décor change pour les quelques deux heures qui suivent, puisque tout le monde se déplace dans la chambre. Principalement meublée d’un très grand lit, où Awa s’offre volontiers aux trois bites qui s’activent. Auxquelles se joint régulièrement la mienne, dans sa bouche ou son sexe.

Elle chevauche, elle est chevauchée, elle se met à quatre pattes pour être prise en levrette. Elle adore être prise en levrette. Une fois le string enlevé, la jupe ultra courte roulée autour de la taille et le soutien gorge comme un trait noir sous ses petits seins bien dressés. Il n’y a plus d’obstacle pour que les langues, les queues et les mains la parcourent dans tous les sens.

J’incite un des participants à lui sucer un sein pendant que je m’occupe de l’autre. Alors qu’une queue la fourrage activement.En outre, une double vaginale s’organise pendant qu’elle me suce.

Awa joue avec les hommes

Bertrand regarde, touche, s’assure que tout va bien. Et Awa gémit de plaisir, frôle à plusieurs reprises l’orgasme, surtout prise en levrette debout. Ainsi, penchée et appuyée sur un amoncellement de coussins, offrant ainsi sa croupe aux hommes qui se succèdent derrière elle. Quelques claques bien senties sur les fesses augmentent les gémissements. Les oiseaux tatoués sur son corps frémissent leurs ailes.

Son grand corps blanc va et vient selon les rythmes proposés. D’ailleurs, un des invités me dira, qu’il avait particulièrement apprécié son engagement, son ardeur à onduler, à s’offrir. Finalement, la séance s’est terminée par les lourdes éjaculations des bites sur son corps. Comme l’illustre Awa se massant le ventre et les seins avec le sperme généreusement répandu.

La conclusion de cette première pluralité masculine

Tout le monde s’est retrouvé pour une dernière coupe de champagne. De cette façon, chacun reprendra ses distances, presque comme si rien ne s’était passé.
Une soirée extrêmement fluide et respectueuse, protégée, puisque toute pénétration ou fellation protégée. Tout autant attentive, puisque Awa ne souhaitant pas ce soir là d’anal, cette question fut vite évacuée.

Sur le chemin du retour, elle me susurra dans l’oreille qu’elle aimait vraiment la queue. Après cela, je me demande maintenant s’il ne serait pas intéressant de passer à cinq hommes. Pour le moment Awa ne dit pas non. Elle apprécie d’être la reine de bites s’activant au service de sa jouissance. Nous pouvons donc l’écrire ici : « elle sera bientôt la reine de la pluralité masculine. »

Texte du mari candauliste.

Crédits Photos : © Gang Bang à Paris

Le triptyque du gang bang en trois mots

Tout commença par un mail reçu en fin d’après-midi, un soir de décembre 2019. Rédigé par le mari candauliste, il attira mon attention car il évoquait un projet de soirée pluralité original. En effet, ce qui me frappait, c’était l’extrême concision de celui-ci. Son but avoué était de faire monter le désir de la chère et tendre femme. Afin de marquer son anniversaire à venir. Mais ce qui me plaisait par dessus tout, c’est qu’il me faisait penser à la réalisation du fantasme libertin que nous avions organisé pour Tristan. A savoir que MIchel connaissait Hélène sur le bout des doigts, en appelait à sa cérébralité. De la sorte, elle s’ouvrirait comme une fleur. Car n’oublions pas : « ce qui ouvre le vagin d’une femme c’est son coeur »… Au travers de ce récit, je m’en vais vous raconter l’élaboration du triptyque du gang bang.

Le triptyque du gang bang

Le projet de soirée pluralité en trois actes

Une enveloppe déposée au pied du sapin de Noël marquait le commencement de cette passionnante trame. Dans ce pli, un flyer élaboré par le mari candauliste : un bon pour une soirée surprise pleine de surprises… Donc, sous la forme d’un flyer explicite, la chère et tendre saurait à quoi s’attendre. Mais ce flyer ne fut pas remis à n’importe quelle occasion. Puisque placé au pied du sapin, le soir de Noël. Ensuite, la belle reçut de ma part un sms évoquant les détails de la soirée, la tenue souhaitée, la date choisie. Enfin, dans un troisième temps, l’endroit retenu, je fis part à la douce du rôle que nous souhaitions lui voir jouer. Et qui du reste la faisait fantasmer : celui d’une escort girl d’un soir.

Dans les faits, après un verre pris dans un bar, nous nous dirigerions vers l’appartement, puis les quatre autres hommes nous rejoindraient, et ne repartiraient qu’après l’avoir fait chavirer.

un indice pour MIchel
La culotte qu’hélène devait retirer sitôt la porte franchie, comme un indice pour MIchel…

Le triptyque du gang bang : Grisée tu commenceras…

Nous étions le samedi onze janvier 2020, dans le somptueux appartement Haussmannien, j’étais comme à mon habitude pris de fébrilité. Cela sans doute à cause de mon côté perfectionniste. VIngt et une heure précise, je guettais par l’œilleton, la venue de celle qui avait gagné le droit de lâcher prise, de s’abandonner. Pile à l’heure, je la vis changer de chaussures dans le hall de l’immeuble. Puis sonner à la porte, et lorsqu’elle pénétra, je demeurai troublé par un détail frappant, elle ressemblait comme deux goûtes d’eau à la femme rencontrée lors de mon premier triolisme en 2001… La surprise passée, je l’accueillis avec les égards de circonstance. Nous disposions de trente minutes pour faire connaissance. Mais je savais qu’elle se sentait parfaitement à son aise. Force était de constater que tout transpirait l’élégance, elle , sa tenue, ce cadre et ce si bon champagne.

Quelques minutes avant 21 heures 30, je lui fis visiter l’appartement et lui demandais de s’allonger sur le grand lit, les yeux fermés. Et comme j’avais pris soin de laisser la porte entrouverte, mes trois complices libertins en profitèrent pour rentrer accompagné du mari.

MIchel avait gardé la culotte d'hélène

Le triptyque du gang bang : Bousculée tu continueras…

Ce que notre pensionnaire d’un soir ne savait pas, c’est que Michel s’était installé dans la salle de bain. Et comme la lumière était éteinte, il pouvait profiter, à loisir, et sans risque, du spectacle offert. Quel mari candauliste n’aurait pas eu envie d’être à sa place ?. Pour voir sa femme ainsi bousculée, ébouriffée… Hélène jouissait, bouleversée par ces si délicates attentions, elle était la reine de la soirée. Puis les mains des solistes se posèrent sur elle, une, puis deux, les sexes aussi se dressèrent. Hélène, insatiable, offrait la moindre parcelle de son corps aux plaisirs qui s’offraient à elle… Enfin une queue dans la bouche , une autre au fond de sa chatte, j’en profitais pour immortaliser ces instants, non sans oublier de « ravitailler » en champagne l’époux aux anges…

Oui nous pouvions le dire et même l’écrire, Hélène était bel et bien bousculée. En effet, elle avait le sexe de Nicolas en bouche, et Sam en levrette au fond de son cul. Lequel Sam lui claquait les fesses, et lui tirait les cheveux, en laissant échapper des mots crus…

le réconfort après le gang bang de la belle Hélène

Le triptyque du gang bang : Possédée tu finiras…

Michel avait finit par nous rejoindre, il avait réussi son pari, et se montrait autant heureux que ne l’était sa femme. Et comme par magie la soirée gagna en intensité. En effet elle ne jouait plus avec un sexe ou deux, mais quatre en même temps. Elle avait le chibre de Sam en bouche, s’empala sur celui de Stan, pendant que celui de Nicolas fouillait son séant. Quant à Michel, il eut droit à une magnifique branlette… Nous ne comptions plus les heures passées, tout le monde s’en fichait. Puis, nous en profitions pour boire quelques coupes de bon champagne, en faisant un simple constat : les bouteilles finiraient épuisées avant elle…

Comme pour nous remercier un à un, Hélène nous demanda où nous souhaitions jouir. Qui sur son visage, ses seins ou sa bouche ?, encore une délicate attention…  Cette soirée se terminait décidément en apothéose.

Un mari candauliste et sa femme épicurienne

Le témoignage du couple sur cette soirée plus que réussie

Grisée, Bousculée, Possédée … Quand le rêve devient réalité !. L’envie de surprendre me trottait depuis un moment jusqu’à proposer un scénario surprise à Bertrand. Voilà un gentleman charmant, aux petits soins pour réaliser vos fantasmes dans les moindres détails et avec une grande complicité. La suite, un lieu d’exception, un accueil délicieux, une ambiance détendue, des complices virtuoses qui ont enflammé Hélène jusque tard dans la nuit. Une soirée qui restera longtemps dans nos mémoires…. Parce que 19 ans d’expérience feront toujours la différence : Gang Bang à Paris, what else !

Merci Bertrand…

Et vous qu’avez-vous donc envie ?

Crédits Photos : © Gang Bang à Paris

La réalisation d’un fantasme libertin

Depuis le temps que nous organisons des soirées libertines, nous avons toujours la même envie. Peut-être parce que l’élaboration est à chaque fois différente. Peut-être aussi parce que des demandes particulières nous excitent encore. Comme celle reçue le cinq novembre 2019 qui était novatrice… Car au travers de son mail, Tristan souhaitait la réalisation d’un fantasme libertin unique. Pour que vous puissiez l’apprécier, je vous joins sa demande :

« Nous désirons réaliser un fantasme ma femme et moi, qu’elle fasse l’amour avec plusieurs hommes. Nous pensons pour une premiere fois à 3 ou 4 hommes. Mais je voudrais lui faire une surprise, c’est pourquoi je vous contacte seul pour l’instant, et lui dirais au dernier moment. La chose qui nous excite est que je sois présent et que je puisse la voir sans être vu moi-même . Il faudrait que je me tienne derrière un miroir sans tain ou autre cachette.

Le principe est qu’elle puisse vraiment se lâcher de son côté, elle saura que je regarde mais n’aura pas ma presence physique à ses côtés. Et moi de mon côté je pourrais la regarder, et me masturber sans avoir l’oeil d’autres hommes sur moi. Je crains que cela ne casse l’exitation. Elle aime les hommes bien montés, la domination, les insultes, se faire claquer les fesses et être prise par les cheveux. Nous serions disponibles le samedi 23 Novembre 2019.

la réalisation du fantasme libertin

La réalisation du fantasme libertin

Cette soirée restera la plus minitieuse, tant dans sa préparation, que dans sa réalisation. Et tout au long de la mise en place de la trame, je devais rassurer et conforter Tristan dans son choix. En effet, il me faisait confiance, et moi Bertrand, je ne pouvais pas le décevoir. Après les premiers échanges de mails, nous décidions de nous apeller, car le son d’une voix à l’autre bout du fil rassure. N’oubliez pas chères lectrices et lecteurs que le mari ne revendiquait pas être un libertin. Donc,cela supposait un réel courage de sa part à nous confier la réalisation de ce fantasme libertin unique. Le mari ajouta une précision, il ne se revendiquait pas cocu soumis, car trop jaloux pour cela. Mais bel et bien candauliste.

Sabrina attend de pied ferme les 4 messieurs

Les préparatifs de la soirée Gang Bang

Je disposais de l’endroit où la soirée se passerait. Enfin soirée était un bien grand mot, car le mari précisait que cela ne durerait pas plus d’une heure. Encore une fois, j’appréciais sa franchise et sa transparence. Nous étions avertis, mais de vous à moi le timing ne nous importait pas. En effet, seul leur plaisir primait. Enfin le grand jour arriva et il m’avoua son trac, alors que sa chère et tendre ne lui montrait aucun signe d’appréhension… J’avais eu la bonne idée de prendre possession des lieux presque deux heures avant, ce qui me permit de placer la chaise dans la spacieuse salle de bain. Laquelle donnait sur la chambre. Comme lui le voulait, j’avais disposé une table basse dans la chambre pour les coupes et le champagne… Comme il le voulait aussi, il ne vit pas mes complices, ceux-ci se tenaient à l’écart dans la cuisine.

Essayage pour Sabrina avant sa soirée gang bang

Voir sans être vu, où l’ombre versus la lumière

Nous étions en plein Hitchcock, mais le tire du film n’était pas fenêtre sur cour, et Tristan n’allait pas assister à un meurtre sous ses yeux mais aux multiples plaisirs de sa femme… Le plus dur dans ces cas-là était de briser la glace. Quand ils sonnèrent, je leur ouvris la porte, un vaste sourire sur mon visage. Je leur montrai la scène des ébats, pris le soin de les laisser seuls quelques instants, puis lorsque le sms tomba , allais chercher les trois hommes qui conversaient dans la cuisine. Sabrina était intimidée, quoi de plus normal, quant à lui, je le pensai nerveux. Elégant jusqu’au bout, je pris la peine de lui apporter une coupe de Champagne, puis repris ma place afin de caresser le superbe corps de Sabrina…

Tristan avait vu sans l’être, lui qui se rinçait loeil depuis le filet laissé par la porte entrouverte.

Après ces courts moments d’une grande intensité me remercia :  » Merci Bertrand pour le mal que tu t’es donné à organiser cette soirée, Tout a été fait avec respect et attention »…

SI vous aussi souhaitez nous confier la réalisation de votre fantasme libertin, contactez-nous.

Crédits Photos : © Gang Bang à Paris

La parfaite alchimie libertine d’une soirée gang bang

Nous recevons des mails à profusion de couples pour l’organisation de gang bang. Mais celui-ci attira notre attention, car monsieur et Madame se présentaient comme : » très unis et amoureux ». Le genre de couple dont vous percevez rien qu’à la lecture de leurs écrits, qu’ils sont formidablement complices… Nous nous devions donc de ne pas les décevoir. Pour cela,je disposais de tous les ingrédients nécessaires : un luxueux appartement Haussmannien dans les beaux quartiers Parisiens. Mais aussi, quatre hommes du groupe, élégants dans le verbe et la tenue. Enfin du champagne de marque MUMM et des préservatifs Manix skyn. Le cadre trouvé, il nous fallait bloquer la date idéale qui convenait à tous. Et attendre toujours avec le même trac leur venue. Tels des chercheurs d’or, nous réussissions ce soir là à atteindre la parfaite alchimie libertine.

La parfaite alchimie libertine

Le respect à la lettre du fantasme de Madame

Solouna, souhaitait démarrer la soirée de façon ludique. En effet, après avoir bu quelques coupes de champagne bien fraîches, elle demanda à ELyas, son homme, de lui poser le bandeau rouge sur les yeux. Ensuite, celui-ci la conduisit jusqu’à la chambre. Ne me demandez pas pourquoi mais j’entends encore aujourd’hui le bruit de ses bottes sur le parquet. Une fois la belle au bord du lit, je sentais son souffle haletant : mélange de stress et d’excitation. Mais comme souvent dans ces cas-là, la main de son homme n’était pas loin, et elle la sentit aussitôt, en se fendant d’un sourire qui illumina son doux visage. Nous n’étions pas silencieux, nous la flattions, tout en profitant pour explorer en détails les moindres recoins de son anatomie. Cette belle soirée libertine démarrait sur les chapeaux de roues…

Solouna la libertine expérimente la parfaite alchimie du gang bang

La parfaite alchimie libertine continuait dans un rythme crescendo

La reine d’un soir plaisait, car ceux à qui elle avait choisi de s’offrir, bandaient copieusement. Habilement, notre déesse, la bouche fouillée par la langue de son homme promenait ses mains sur les corps de Stan et NIco. Et toujours aussi habilement, réussit à déboutonner les boutons de chemises de mes complices. Puis à extirper les sexes des caleçons. Lesquels queues piaffaient d’impatience de prendre l’air. Puis agenouillée, faisant preuve d’une grande souplesse, elle passa et repassa sa langue sur ces colonnes de chair tendue… La parfaite alchimie libertine se confirmait, et ce moment de grâce me rappelait la soirée gang bang de Camille. Comme à mon habitude, depuis ma place privilégiée, j’observais, je sentais et ressentais. L’intensité et la variété des pénétrations me sidéraient à croire qu’ Elyas connaissait le Kamasutra par cœur…

Soulouna la libertine en gang bang

L’ inattendu dénouement de cette folle soirée gang bang

Comme toujours, pour être certains de réussir une soirée, il faut écouter l’autre, tendre l’oreille, sentir quand les festivités doivent se terminer. Cela faisait plus d’une heure trente que la belle libertine multipliait les acrobaties… Pénétrée par devant, par derrière, elle souhaitait finir recouverte de sperme. Et c’est dans ces moment là que nous autres les hommes sommes en difficulté. Il nous faut caler notre éjaculation sur celle du voisin, et contrôler notre jet. Ne rigolez pas chère lectrice, cher lecteur, c’est tout un art. Mais comme elle avait commencé, la soirée Gang Bang de Soulona ne pouvait finir sur une fausse note…

A la fin de cette soirée, séduit par le profil d’Elyas, je lui demandai si elle acceptait de nous prêter Monsieur pour nos soirées libertines. Et Solouna accepta, Monsieur Coquinous92 fait aujourd’hui partie du groupe Gang Bang à Paris.

Crédits Photos : © Coquinous92

Jeu de rôle sexuel et babyfoot

Tous les organisateurs de soirées libertines le savent, le plus dur n’est pas en soi de réussir à réunir les participants. Mais de constituer une parfaite alchimie… Et si jamais vous apprenez que la femme souffre de timidité, pensez à démarrer les festivités de façon originale. Or, parfois, un simple objet du décor vous ouvre les yeux. Celui qui le permit ce soir-là fut un rutilant babyfoot. La trame toute tracée permit à deux équipes de s’affronter, pour un jeu de rôle sexuel sobre, donc efficace… Je vous propose donc de découvrir la partie de babyfoot la plus sexy de tous les temps. Celle qui n’aura lieu qu’une fois mais qui restera, sans nul doute, un souvenir indélébile.

Le jeu de rôle sexuel et le babyfoot

Le Babyfoot où le démarrage du jeu de rôle sexuel

Le décor planté, Teddy et Joyce, d’un côté, Milass et Bertrand, votre serviteur, de l’autre. Avec comme arbitre, Marc, le mari de la belle. A chaque but encaissé, l’équipe perdante devait ôter un vêtement. Le Striptease nous amusa à Milass et à moi-même, car nous étions dans la bonne équipe. Mais amusa beaucoup moins Joyce, qui en soupirant, se débarrassait de son bustier noir. Son coéquipier d’un soir, Teddy, ôta lui sa chemise. Nous faisions tous le même constat, celui d’une soirée qui s’annonçait réussie. Tout simplement parce que les deux ingrédients essentiels y figuraient : la bonne humeur et le goût du jeu.

Joyce la libertine joue au babyfoot

Un striptease diabolique, donc malheur aux perdants !

Joyce était aux commandes, elle évoluait au poste d’attaquant. Et même si elle était loin d’être maladroite, nous ne pouvions en dire autant de Teddy. Le brave gardien d’un soir semblait perturbé… Était-ce parce qu’il avait une fâcheuse tendance à avoir la main baladeuse, ou envoûté par la beauté de Joyce ?. Toujours est-il que la paire Bertrand-MIlass faisaient des miracles. Le score était sans appel, Joyce continua la partie les seins nus, et Teddy torse nu. Il était temps pour nos sportifs d’un soir de se désaltérer avec une coupe de bon Champagne. Mais à la mi temps de ce match palpitant, le score était sans appel. En effet nous gagnions par cinq buts à un…

Le striptease permet la réussite du jeu de rôle sexuel

La partie de babyfoot se termina dans une folle intensité sexuelle

A l’entame de la deuxième mi-temps, Teddy, l’amateur de bons mots, semblait fier de s’exhiber. A la base moins habillé que nous tous, il était déjà nu comme un ver. Puis nous constations qu’il tentait à son tour de déstabiliser sa partenaire en se livrant à une sensuelle danse. Comme dans un documentaire animalier, il agitait son sexe en érection en se frottant à Joyce, qui éclata de rire. Mais son rire fit rapidement place à un rictus de satisfaction. Car Teddy, fidèle à sa réputation, plaça ses doigts agiles sur ses seins et clitoris. Nous sentions tous à ce moment précis qu’il était temps de penser à changer de jeu. Le bayfoot avait vécu, place au gang bang !. Le jeu de rôle sexuel improvisé me confortait dans la volonté de constamment me renouveler même après dix huit années passées à organiser des soirées gang bang.

Le jeu de rôle sexuel laisse sa place au gang bang

Mort au babyfoot, Vive le gang bang !

C’est particulièrement excités que nous retrouvions les protagonistes de cette folle soirée débridée. A la fin de la partie, Joyce bonne perdante, accomplit sur la personne de Milass une divine fellation. Le bougre avait l’air d’apprécier. Lui qui a pour habitude de se passer la langue sur les lèvres quand il est en confortable situation. Mais La belle n’avait pas l’intention d’en rester là. Et en profita pour saisir au vol, les sexes de Teddy et le mien. C’est ainsi qu’un en bouche, et deux dans chaque main, elle nous prouvait que sa timidité du départ avait disparu. Aidée sans doute en cela par ma mise en place de ce jeu de rôle sexuel. Lequel jeu, par sa réussite, avait fortement contribué à désinhiber cette soirée gang bang qui pouvait enfin démarrer.

Le gang bang de Joyce après le jeu de rôle sexuel

Un gang bang feutré tout en douceur

Vous qui nous suivez depuis des années, vous savez que notre conception du gang bang est plutôt intimiste. Effectivement, son format est d’une femme pour trois ou cinq hommes. Mais en plus d’être intimiste, nous évoluons dans une atmosphère feutrée et sécurisante. Et surtout, nous respectons à la lettre les désirs de la reine de la soirée… Les désirs de Joyce étaient très clairs, elle ne souhaitait pas que son séant subît les assauts des complices présents. Mais elle souhaitait surtout de l’élégance dans les paroles, les actes, les attitudes. En cela j’étais sûr de mon choix avec Teddy et Milass. Car ces deux-là en plus d’avoir toutes ces qualités, maniaient admirablement bien l’humour. Ce qui avait comme conséquence de la mettre en confiance. D’ailleurs, en rédigeant cet article, mais surtout en y insérant les photos, vous fidèle lectrice, fidèle lecteur devez le ressentir.

Mais pour clore la rédaction de cet article, vous me permettrez de finir sur un conseil. Si vous ne savez pas comment faire pour lancer les ébats, organisez un jeu de rôle sexuel !.

Et vous comment faites-vous pour démarrer une soirée libertine ?.

Crédits Photos : © Gang Bang à Paris

Services sexuels d’une French maid Anglaise

Une fois n’est pas coutume, ce couple Franco-Britannique nous contacta via notre compte Facebook. Nous les rencontrâmes donc le 10 mai 2018. K, trentenaire sexy et son cocu, quadragénaire élégant. Encore une belle rencontre, dans un bel endroit. Puisque leur pied à terre Parisien était la Maison Souquet. Pour celles et ceux qui ne connaissent pas la particularité de l’endroit, sachez que c’était en 1905, une maison des plaisirs. Le scénario imaginé était pervers à souhait. K en French maid pour un groupe d’hommes jouant aux cartes. Notre hotwife, disponible pour servir à table, avec les mains baladeuses, se devant de récompenser chaque gagnant par ses services sexuels.

Les services sexuels de la French maid

Une rencontre préalable autour du bar de l’hôtel

Comme à mon habitude, j’étais le premier sur place, et Nicolas et Samba ne tardèrent pas à me rejoindre. Je reçus un texto du cocu, me suggérant de nous retrouver au bar de l’hôtel. Pour nous le plus dur était de ne pas éveiller les soupçons des barmaids. L’homme se présenta à nous, élégant, il ne déparait pas dans ce cadre imaginé par Jacques Garcia.

Nous attendions le feu vert de la belle Anglaise, qui finissait de se préparer. L’occasion pour nous de parler de l’esprit de notre groupe, de leurs rencontres, enfin, du libertinage Français… Le texto libérateur parvint au cocu. Nous fûmes d’abord deux, le photographe et votre serviteur, à monter les escaliers qui nous menaient à la suite. Puis le cocu partit chercher les deux autres libertins. Le tout avec un naturel et une discrétion de circonstance.

Le tarot permit à K de faire valoir ses services sexuels

Le plus dur ne consista pas à réunir mes complices libertins, même un jour férié. Mais à trouver un jeu de cartes adéquat, connu de tous. Enfin et surtout simple à utiliser. Mon choix se porta donc sur un jeu de tarot. Je demandai à Nicolas d’en apporter un, le cocu en fit autant. Mais notre French maid ne tarda pas à se familiariser avec ces règles.

Ce qui d’ailleurs avait l’air de l’amuser au plus haut point. Nul besoin de vous dire que ce soir là, je n’étais pas en veine. En effet, je ne gagnai aucune des parties jouées. Mais nous étions montés découvrir une bien belle Anglaise et ses services sexuels. Et c’était bien cela le plus important.

Les services sexuels de la belle trentenaire

Le premier à gagner fut Nicolas qui se laissa longuement embrasser sous l’œil du cocu, visiblement excité. Celui-ci vit la main de l’épouse caresser la bosse imposante, qui se dessinait dans le pantalon de notre ami. Ce qui eut le don de provoquer l’érection du mari. Mais K, espiègle à souhait, en profita pour changer de place et se plaça au milieu de Nicolas et Samba.

Lequel gagna la deuxième partie de cartes, haut la main. Il eut droit, lui aussi, aux mains baladeuses de K. Ensuite elle sortit les sexes des pantalons, et les branla énergiquement, avant de les sucer l’un après l’autre. En face du triptyque pornographique, je me trouvai voyeur. Tout comme le cocu du reste, qui n’avait pas choisi sa place par hasard.

La levrette comme récompense collective

Je décidai de me lever et d’entraîner la belle Anglaise vers l’imposant lit. Naturellement, celle-ci offrit sa délicieuse croupe aux assauts de Nicolas. Je me demande encore, avec amusement, en écrivant ses lignes, comment un garçon si fin peut-il être doté d’un sexe si long… Mais n’est-ce pas là le charme des mystères de la nature…

K minauda, mais demanda à plusieurs reprises à notre homme, de ralentir le rythme de l’énergique coït. Elle changea à plusieurs reprises de position. Et en profita pour avoir le sexe du cocu en bouche, pendant que celui de mon partenaire de jeu, continuait à la pénétrer. Il transpirait de cette soirée un parfum particulier, elle me rappelait en tout point la soirée passée avec Isadora.

La double pénétration où humiliation du cocu

Vous vous demandez sans doute pourquoi, après tant d’années passées à organiser, la lassitude ne me gagne pas. Le secret de ma longévité tient en une recette éprouvée : Avant, pendant et après. Mon plaisir consiste à échanger et préparer la soirée, à m’y amuser pendant, quel qu’en soit la manière. Enfin à relater cette aventure au travers de cet article.

En l’occurrence, mon plaisir y est décuplé à l’idée d’imaginer le cocu lisant mon récit. Mais surtout qui se rappellera cette magistrale double pénétration où K accueillit son sexe en elle, et celui de Nicolas au fond de son séant. Elle y prit semble-t-il beaucoup de plaisir. Les services sexuels de K ravirent ce soir-là tout le monde

Le collier au cou, le sperme sur le visage

Le cocu avait prit soin de placer le collier au cou de K, soumise. Mais comment pouvait il se sentir encore plus humilié qu’il ne l’était déjà ?. Tout simplement, en découvrant le visage de l’épouse modèle, copieusement maculé de sperme. Je la plaçai sur le dos, elle garda la bouche ouverte.

Et les jets de sperme virent les uns après les autres inonder son délicat visage. Élégants jusqu’au bout, nous prîmes soin de régler au cocu, les consommations prises au bar. Lequel y alla de son compliment, lui qui avait déjà connu une soirée payante, trouva la nôtre bien plus conviviale. Notre recherche est le plaisir, et cela n’a pas de prix…

Crédits Photos : © Gang Bang à Paris

gang bang masqué pour la belle June

Samedi 26 novembre à 15 heures, June, conduite par Xam pénètra dans l’antre des plaisirs, où je l’accueillis. Mon masque vénitien sur le visage, je ne dis mot comme pour mieux préserver la surprise. June savait qu’elle se rendait à un après-midi libertin, mais cette fois-ci, elle voulait de l’élégance. Donc une initiation sous forme de gang bang masqué. Point d’hésitation de sa part, au moment de pénétrer dans l’appartement…

La jouissance de June : tous ses sens furent décuplés

Les quatre autres compagnons attendirent assis dans le canapé et les fauteuils, se levèrent, puis à leur tour, firent le baise-main. June en totale confiance se laissa guider, Nicolas l’assit entre eux. Il se positionna à sa gauche et Samba à sa droite, puis lentement la caressa. Des petits gémissements se firent entendre, puis des gloussements quand elle happa les sexes de nos deux protagonistes. Leurs mains habiles s’occupèrent de caresser ses seins. Quant à Christophe, il se précipita vers son entrecuisse, et goulûment passa sa langue sur son clitoris. L’après-midi était d’une rare intensité. Et que dire de la promptitude des festivités…

gang bang masqué pour la belle June

Le silence fut déchiré par les cris de la belle

Les hommes eux aussi étaient en confiance, cela se ressentait dans la formidable complicité qui transpirait de ce groupe constitué. L’espace d’une escapade libertine, Nicolas, Samba, les deux Christophe et votre serviteur contemplaient chacun leur tour le magnifique corps de cette femme, laquelle s’abandonnait petit à petit dans ce tourbillons de plaisirs.  Mais elle ne réclama pas de pause, et semblait en vouloir toujours plus…

Le gang bang masqué, l’autre forme de l’élégance

Xam nous avait fourni les prémices du scénario, que nous nous efforçâmes de respecter à la lettre, sa belle avait soif de double pénétration, et Christophe semblait lire dans ses pensées. Nicolas s’allongea sur le lit, June, fière, s’empala sur son sexe, se cambra, comme pour mieux accueillir dans son séant, celui de Christophe. Après s’être délecté d’une coupe de Mumm, elle nous fit sentir qu’elle avait soif de sperme. A genoux sur le parquet, toujours recouverte de son masque, elle reçut le liquide de cinq messieurs sur son visage…

Crédits Photos : © Gang Bang à Paris

Gang bang moderne inventé par Olivia

Si nous devions retenir qu’un gang bang moderne, ce serait celui-là. Car tout y était réuni. Commençons par l’endroit délicieusement décalé : un loft avec piscine en plein Paris. 4 hommes masqués, des hôtes adorables, enfin un beau couple cordial. Le décor enfin planté, Olivia ne devait pas voir les hommes, à l’étage. Ces derniers au bar dégustaient une coupe de bon champagne.

Gang bang moderne avec quatre messieurs

Nue sous son long manteau, elle les découvrit également vêtus du plus simple appareil. Les bruits de ses pas dans les escaliers annoncèrent sa venue, puis la porte s’ouvrit, nous découvrîmes son visage, puis son corps. Sa main gauche effleura les fessiers de ces messieurs,dont le sexe comme par enchantement se redressa promptement. Mais ils se montrèrent patients, obéirent au doigt et à l’œil aux désirs de la belle Olivia. Redoutable fellatrice, extrêmement souple, elle s’agenouilla pour prendre en bouche ces sexes, tous plus beaux les uns que les autres. Toujours debout, perchée sur ses chaussures à talons, Marco décida fébrile, d’être le premier à la prendre. Bouleversé par tant de beauté, il déchira l’emballage du préservatif , puis la pénétra, tout en lui claqua les fesses.

Olivia pose avant de jouer à son gang bang

La fessée : le moteur de son plaisir

Olivia adore la fessée, adore être bousculée, malmenée sentir qu’elle est l’objet du désir des hommes. Cependant, sans donner l’impression de perdre le contrôle. A force de sentir les mains claquer son séant, de belles marques rouges firent leur apparition. La fessée est un art, et ce n’est pas notre ami Patrick Georges qui nous dira le contraire. Enfin ce fut au tour de Rafaël de s’occuper de la belle. Lui qui piaffait d’impatience, prit par la main Olivia et la plaqua sur une table. Il releva ses jambes et les plaça de part et d’autre de son cou. Olivia s’abandonna petit à petit et ferma les yeux.

A quoi pensait-elle ?, seule elle le sait…

Crédits Photos : © Gang Bang à Paris