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Le triptyque du gang bang en trois mots

MIchel avait gardé la culotte d'hélène

Last Updated on 2 semaines by Bertrand Bret

Tout commença par un mail reçu en fin d’après-midi, un soir de décembre 2019. Rédigé par le mari candauliste, il attira mon attention car il évoquait un projet de soirée pluralité original. En effet, ce qui me frappait, c’était l’extrême concision de celui-ci. Son but avoué était de faire monter le désir de la chère et tendre femme. Afin de marquer son anniversaire à venir. Mais ce qui me plaisait par dessus tout, c’est qu’il me faisait penser à la réalisation du fantasme libertin que nous avions organisé pour Tristan. A savoir que MIchel connaissait Hélène sur le bout des doigts, en appelait à sa cérébralité. De la sorte, elle s’ouvrirait comme une fleur. Car n’oublions pas : « ce qui ouvre le vagin d’une femme c’est son coeur »… Au travers de ce récit, je m’en vais vous raconter l’élaboration du triptyque du gang bang.

Le triptyque du gang bang

Le projet de soirée pluralité en trois actes

Une enveloppe déposée au pied du sapin de Noël marquait le commencement de cette passionnante trame. Dans ce pli, un flyer élaboré par le mari candauliste : un bon pour une soirée surprise pleine de surprises… Donc, sous la forme d’un flyer explicite, la chère et tendre saurait à quoi s’attendre. Mais ce flyer ne fut pas remis à n’importe quelle occasion. Puisque placé au pied du sapin, le soir de Noël. Ensuite, la belle reçut de ma part un sms évoquant les détails de la soirée, la tenue souhaitée, la date choisie. Enfin, dans un troisième temps, l’endroit retenu, je fis part à la douce du rôle que nous souhaitions lui voir jouer. Et qui du reste la faisait fantasmer : celui d’une escort girl d’un soir.

Dans les faits, après un verre pris dans un bar, nous nous dirigerions vers l’appartement, puis les quatre autres hommes nous rejoindraient, et ne repartiraient qu’après l’avoir fait chavirer.

un indice pour MIchel
La culotte qu’hélène devait retirer sitôt la porte franchie, comme un indice pour MIchel…

Le triptyque du gang bang : Grisée tu commenceras…

Nous étions le samedi onze janvier 2020, dans le somptueux appartement Haussmannien, j’étais comme à mon habitude pris de fébrilité. Cela sans doute à cause de mon côté perfectionniste. VIngt et une heure précise, je guettais par l’œilleton, la venue de celle qui avait gagné le droit de lâcher prise, de s’abandonner. Pile à l’heure, je la vis changer de chaussures dans le hall de l’immeuble. Puis sonner à la porte, et lorsqu’elle pénétra, je demeurai troublé par un détail frappant, elle ressemblait comme deux goûtes d’eau à la femme rencontrée lors de mon premier triolisme en 2001… La surprise passée, je l’accueillis avec les égards de circonstance. Nous disposions de trente minutes pour faire connaissance. Mais je savais qu’elle se sentait parfaitement à son aise. Force était de constater que tout transpirait l’élégance, elle , sa tenue, ce cadre et ce si bon champagne.

Quelques minutes avant 21 heures 30, je lui fis visiter l’appartement et lui demandais de s’allonger sur le grand lit, les yeux fermés. Et comme j’avais pris soin de laisser la porte entrouverte, mes trois complices libertins en profitèrent pour rentrer accompagné du mari.

MIchel avait gardé la culotte d'hélène

Le triptyque du gang bang : Bousculée tu continueras…

Ce que notre pensionnaire d’un soir ne savait pas, c’est que Michel s’était installé dans la salle de bain. Et comme la lumière était éteinte, il pouvait profiter, à loisir, et sans risque, du spectacle offert. Quel mari candauliste n’aurait pas eu envie d’être à sa place ?. Pour voir sa femme ainsi bousculée, ébouriffée… Hélène jouissait, bouleversée par ces si délicates attentions, elle était la reine de la soirée. Puis les mains des solistes se posèrent sur elle, une, puis deux, les sexes aussi se dressèrent. Hélène, insatiable, offrait la moindre parcelle de son corps aux plaisirs qui s’offraient à elle… Enfin une queue dans la bouche , une autre au fond de sa chatte, j’en profitais pour immortaliser ces instants, non sans oublier de « ravitailler » en champagne l’époux aux anges…

Oui nous pouvions le dire et même l’écrire, Hélène était bel et bien bousculée. En effet, elle avait le sexe de Nicolas en bouche, et Sam en levrette au fond de son cul. Lequel Sam lui claquait les fesses, et lui tirait les cheveux, en laissant échapper des mots crus…

le réconfort après le gang bang de la belle Hélène

Le triptyque du gang bang : Possédée tu finiras…

Michel avait finit par nous rejoindre, il avait réussi son pari, et se montrait autant heureux que ne l’était sa femme. Et comme par magie la soirée gagna en intensité. En effet elle ne jouait plus avec un sexe ou deux, mais quatre en même temps. Elle avait le chibre de Sam en bouche, s’empala sur celui de Stan, pendant que celui de Nicolas fouillait son séant. Quant à Michel, il eut droit à une magnifique branlette… Nous ne comptions plus les heures passées, tout le monde s’en fichait. Puis, nous en profitions pour boire quelques coupes de bon champagne, en faisant un simple constat : les bouteilles finiraient épuisées avant elle…

Comme pour nous remercier un à un, Hélène nous demanda où nous souhaitions jouir. Qui sur son visage, ses seins ou sa bouche ?, encore une délicate attention…  Cette soirée se terminait décidément en apothéose.

Un mari candauliste et sa femme épicurienne

Le témoignage du couple sur cette soirée plus que réussie

Grisée, Bousculée, Possédée … Quand le rêve devient réalité !. L’envie de surprendre me trottait depuis un moment jusqu’à proposer un scénario surprise à Bertrand. Voilà un gentleman charmant, aux petits soins pour réaliser vos fantasmes dans les moindres détails et avec une grande complicité. La suite, un lieu d’exception, un accueil délicieux, une ambiance détendue, des complices virtuoses qui ont enflammé Hélène jusque tard dans la nuit. Une soirée qui restera longtemps dans nos mémoires…. Parce que 19 ans d’expérience feront toujours la différence : Gang Bang à Paris, what else !

Merci Bertrand…

Et vous qu’avez-vous donc envie ?

Crédits Photos : © Gang Bang à Paris

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