Last Updated on 3 ans by Bertrand Bret
On n’a qu’une vie… La mienne, ponctuée de formidables rencontres, toutes plus extraordinaires les unes que les autres. Mais c’est ma vie libertine qui, par sa singularité de réalisateur de fantames a pris un second souffle. De surcroît, accompagnée d’un formidable élan de fraîcheur… En ce premier mai 2021, une jeune femme âgée de 24 ans me contactait via mon compte instagram, afin d’assouvir ses fantasmes de gang bang. Mais comme souvent dans ces cas-là, j’optais pour une légitime prudence… Quid de la fiabilité de cette demoiselle ?, quid de son sérieux, de ses envies ?. Je ne tardais pas à être rapidement fixé sur ses louables intentions, grâce à un rapide échange vocal, où je pus entendre le son de sa délicate voix… Elle voulait nous confier la réalisation de son fantasme : le Gang Bang de la petite écolière.
Nissa, puisqu’elle était son pseudo souhaitait que je lui organise une après-midi délurée, un moment hors du temps. Où malmenée, bousculée, plusieurs hommes la baiseraient copieusement, puisque telle était sa demande… J’organisais donc pour Nissa, soumise de son état, cette pluralité masculine.
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Le Gang Bang de la petite écolière
Pour qu’elle se sentit parfaitement dans son rôle, il lui fallait un habit sur mesure. Celui-ci, composé d’une courte jupette et d’un haut transparent. Et bien entendu, je lui ordonnais de ne pas porter le string qui complétait l’ensemble. La première chose que je remarquais très vite était sa ponctualité. En effet, le mardi 4 mai, à 13 heures précises, celle qui allait devenir ma soumise, se présentait à l’adresse donnée. Après le cérémonial d’usage qui consistait à s’agenouiller devant son maître, elle reçut le collier autour de son cou. Puis m’embrassa les pieds. Mais je sentais la jeune femme un tantinet stressée, et dans sa soif de bien faire, elle demanda à se doucher… Quand elle ressortit, elle plaça dans les toilettes le rosebud dans son cul, mais ne souhaitait pas le faire devant le premier complice qui arrivait.
Soumise Nissa repoussait ses limites
Je sentais la jeune femme partagée entre deux sentiments : l’excitation et la honte. Mais cette ambivalence ne tarda pas à s’estomper pour faire place à sa formidable envie de sexe. Or je puis vous l’écrire chère lectrice, cher lecteur : rarement je n’ai rencontré de femme aussi attachante et vorace… J’ordonnai à Nissa d’exhiber son sexe et sa poitrine. Puis elle dut, en guise de parfaite soumise qu’elle était, offrir une coupe de champagne de bienvenue à ces messieurs… Pendant qu’elle s’appliqua à bien nous servir, Nico, hervé et votre serviteur en profitions pour lui caresser la vulve. Et sentir sa mouille abondante, couler sur nos doigts.
Je tenais là une perle, un joyau, cette demoiselle n’allait pas finir de nous surprendre… Telle une chienne lubrique, elle était en train de nous faire bander. Surtout, quand vint le moment tant attendu des quelques mots qu’elle devait prononcer, agenouillée sur son coussin…
L’humiliation de la petite écolière
Voici les mots qu’elle devait dire : «Je suis Nissa la soumise de Maitre Bertrand qui me met à votre service, ma bouche, ma chatte. Je suis un objet sexuel à votre disposition». Mais malgré la formidable gêne qui s’emparait de ma soumise, je sentis une réelle soif de bien faire. Accompagnée d’une volonté indéniable de soumission à son maître, et cela me rendait particulièrement fier… Nous notions la soumise sur son discours, via un jeu de notes sur 5, qui devait me parvenir sur mon téléphone. Après cet épisode humiliant à souhait, vint le moment tant redouté par Nissa, montrer sa chatte ruisselante, et ses seins à ces messieurs qui avaient l’autorisation de contempler, de lécher et de toucher… De nouveau, les hommes du groupe devaient la noter…
Mais comble de ma perversité, Nissa regagna sa place au milieu du salon, alors que je m’emparais d’une lampe torche. Et inspectais chacun de ses orifices comme si elle était une vulgaire bête de foire… Nico et hervé en firent de même, tout en observant la cyprine couler… Bien entendu, et comme je m’y attendais, cela l’excita beaucoup.
Les jeux sexuels du Gang Bang de la petite écolière
Nissa sentait les queues se dresser, pas de doute elle faisait de l’effet aux hommes, dont les yeux transpiraient la lubricité. Nous pouvions donc commencer l’atelier Gorge Profonde… Où ma soumise se devait de prendre en bouche les sexes tout au fond de sa bouche… Nico bandait déjà quand il baissa son pantalon, et Nissa eut du mal à le sucer… Mais puisque je sais que tu me lis ma soumise, sache que je t’ai prévu des ateliers Fellations pour nos prochaines séances et des exercices du soir… Une sorte de formation accélérée.
Puis je me dirigeais à l’étage, Nissa tenue en laisse… Et elle put observer sa gamelle remplie d’eau du robinet, où elle pouvait se désaltérer à condition d’en formuler la demande. Nissa, présentée en levrette, offrit sa croupe aux trois hommes qui nous rejoignèrent dans la chambre… Positionnée ainsi, elle accueillait au fond de son intimité, deux sexes, pendant qu’elle croisait mon regard. Elle était fière Nissa !, pensez donc !, c’était sa première double pénétration… La jeune femme prenait du plaisIr… Beaucoup… Elle qui voulaIt se faire baiser était servie, elle qui voulait se soumettre, était ravie. Enfin elle qui voulait vivre l’humiliation était comblée…
La conclusion de ce gang bang qui en appellera d’autres
Nissa est une rencontre qu’on n’oublie pas, et cela tombe bien je ne souhaite pas la chasser de ma mémoire. Cette femme a eu le don de toucher mon cerveau, mon sexe et mon coeur… Je me définis comme un réalisateur de fantasmes, mais aussi comme un représentant en souvenirs… Alors Nissa, ma chère soumise, je formule un voeu : que tu ne fasses pas partie de mon passé, mais de mon avenir…
Nissa je t’aime…
Crédits Photos : © Gang Bang à Paris