la soubrette en gang bang, services ou sévices

Last Updated on 5 ans by Bertrand Bret

L’histoire de Gang Bang à Paris est fait de femmes. Mais l’habit ne fait pas le moine, et qu’elle soit en none un jour ou en soubrette, le lendemain. D’abord, elles restent et demeurent des libertines. Même si l’expression de leur libertinage diffère de l’une à l’autre. En ce mois de Septembre 2018, nous retrouvions d’ailleurs la divine Esmeralda. En ce moment, nous la voyons une fois tous les quinze jours, pour des scénarios chaque fois plus déjantés. A cet égard notre soumise avait soif de sévices et de services. Il était donc temps pour elle d’endosser son nouvel habit : celui de la soubrette en gang bang. Son plaisir consistait à juste titre, à rendre un service impeccable sous peine de sévices… Permettez- moi donc de vous narrer l’histoire de cette bien belle soubrette.

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la soubrette en gang bang, la maestria du service

Esmeralda fait partie d’une race que j’affectionne particulièrement, celle des ponctuels. En cet après-midi, elle extirpa ainsi son mètre soixante quinze de sa voiture à l’heure exacte où nous l’attendions. Se dirigea ensuite à l’adresse indiquée. Pour le plus grand plaisir, en somme, des voisins, qui n’en perdaient pas une miette !. Imaginez à ce propos, une superbe brune élancée perchée sur ses Louboutin, avec un large sourire espiègle illuminant son visage…

Quant à notre soumise, elle découvrait les quatre heureux messieurs encore habillés, prêts à la tester. Ou plutôt à s’assurer qu’elle ferait honneur à sa coiffe et à son petit tablier en dentelle blanche.

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Le test du plateau, perchée sur ses talons hauts

Esmeralda concentrée mais se rendait compte de la difficulté de la tâche. D’autant plus que marcher avec des poids fixés sur ses seins et ses lèvres, ne lui facilitait pas la donne. Si on ajoute à cela qu’elle tentait de rester digne, tout en marchant sur d’épais tapis. Comme nous nous y attendions, la belle ibère fit tomber un peu de champagne d’une des coupes. La sanction fut à vrai dire immédiate. Donc fermement agrippée par votre serviteur, je ne pus m’empêcher de la sodomiser sans ménagement. Mais était-ce une vraie punition ?, je n’en suis en effet pas certain à la relecture des ses précédents exploits… Cependant, je pus deviner plus d’une grimace durant ce coït qui n’en finissait pas.

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La récompense de la gamelle

Après les sévices, venait la récompense du service. En effet j’avais disposé près de la fenêtre du séjour, une gamelle remplie d’eau du robinet. Ainsi, entre deux prestations habilement exécutées, Esmeralda avait le droit de se désaltérer. Mais quand elle ne s’y attendait pas, ce fut Marco qui honora cette fois-ci son sexe annelé. Ce fut pour moi une façon de tester sa perversité. Car il lui demanda en effet, de continuer à boire, tout en labourant copieusement son intimité. Bien évidemment chère lectrice, cher lecteur, vous avez devinez où je voulais en venir… Si la belle faisait tomber une seule goutte, une sanction tombait. Or ce fut malheureusement le cas, comment du reste pouvait-il en être autrement. La soubrette en gang bang souffrait mais ne le montrait pas.

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La double pénétration sur le canapé

Après presque deux heures de jeux, je vis les premières gouttes de sueur sur la belle peau satinée d’Esmeralda. Mais je dois vous faire une confidence, je savais que je ne viendrais pas à bout de son endurance. Aussi, ce fut lors de la double pénétration sur le canapé que je le constatais. Effectivement, mon sexe de nouveau au fond de son séant, elle accueillait celui de Pierre par devant. Tout en étant, douloureusement maintenue par ses poignets.

Je terminerai la rédaction par un compliment : Esmeralda continuez à nous faire bander, à l’époque actuelle, cela n’a pas de prix…

Elle a d’ailleurs fait l’objet d’un article dans le magazine Union du mois d’octobre 2019

Crédits Photos : © Gang Bang à Paris

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